| [1]
Et pour ce on a ordonné vne instruccion ainssi comme ils ont sceu faire le plus legierement que ilz ont peu pour introduyre ceulx que ilz ont baptisés (BONTIER, LE VERRIER, Canarien G., c.1425 [1482], 74). |
| [2]
...je désiroye que riens n'en fust sceu, parce que espoir aucuns de mes bien voellans se fussent travilliez de venir au devant de moy (LENGHERAND, Voy. G., 1486-1487, 207). |
| [3]
Et y a en icelle bouche une petite islette deshabitée qui part laditte bouche en deux, et est celle devers Alexandrie la plus grande et la plus parfonde comme j'ay sceu par informacion, car nul Cristien n'y ose aler. (LANNOY, Voy. amb. P.H., p.1450, 110). |
| [4]
Toutesfoys Temir Bey si fait toutes ses choses sans le sceu de l'empereur. (JEAN DE SULTANIEH, Mém. Tamerlan M., 1403, 445). |
| [5]
Lors vint le marissal de Bourgoingne aux deux chevaliers de par le duc et leur dist : (...) l'un vous portez emprinse et l'aultre vous y touchez, et tous deux sans sceu et congié de Monsieur, qui ne vous affiert point. Ce n'est pas cas a souffrir, et pour ceste cause Monsieur ne se doit mesler de vostre fait, excepté de vous veoir executer voz oultraiges l'un contre l'aultre. (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 138). |
| [6]
(r)Sire, se lesdictes alliances sont veritables ou par vostre commandement ou de vostre sceu traitees, il est cler que n'estes pas content de monsr, dont il lui desplait de tout son ceur, et non sans cause de s'en plaindre et douloir a vous...» (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 182). |
| [7]
...et par aventure il s'en eust volu abstenir, il n'eust peu ne sceu et n'en estoit mie en luy ; ains le gouvernoit Amours en tutelle comme orphenin du tout habandonné a faire cris et pleurs (Comte Artois S., c.1453-1467, 111). |
| [8]
...et ja l'eust baisié et fait grant honneur ne fust pour ce que cestuy caz non advenu de memoire d'omme ne fust sceu et que ceulx qui a l'environ d'eulx estoient ne s'en donnassent garde (Comte Artois S., c.1453-1467, 123). |
| [9]
Tout acertené fu adont le noble conte de la grant leaulté de sa femme et de ce que, par son ingenieux sçavoir, elle avoit achevé toutez lez trois chosez dessus dittez, sans son sceu, dont il la loua assez en son cuer et juga que, selon son edit et raison, il estoit tenu de retourner en sa conté (Comte Artois S., c.1453-1467, 148). |
| [10]
"...Je vous eusse beaucopt plus dit de parolles, mes je scay que vous estes plus sage que je ne suys et avés myeulx entendu ce que j'ay dist que je ne l'ay sceu dire. Et le mettés a perfection de bien." (LA CEPEDE, Paris Vienne K., 1432, 120). |
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Attestation de 