C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de scet dans la Base des Partiels 

181 attestations 
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[1] Après scet la Vostre Sainctité que au temps que le reaulme de France estoit en division avecques le illustre prince le segneur duc de Bourgoingne (Passage Terre Sainte Piloti D., 1441, 9).
[2] Pourquoy le conseil opponoit que, par moy avoir la practique des Sarrasins et dez Gretz, qui estoit meilleur ami que ... aultre ; et bien que je fus poyé, mais Dieu scet quel desconchement et dompmage fust en mes fais ! (Passage Terre Sainte Piloti D., 1441, 204).
[3] Mais quant le gardien du mont de Syon scet la venue des pelerins, il les vient tantost veoir, et savoir quelz gens ilz sont, ne dont ilz sont et aucune foiz en emmayne logier au mont de Syon des plus notables, especialment de la nacion de France, car ce sont les plus previllegiez. (Voy. et pard. M., c.1419-1425, 82).
[4] Et Dieu scet se les femmes de Venise estoient [estoient] le jour d'hier et aujourd'huy bien gorgiases (LENGHERAND, Voy. G., 1486-1487, 80).
[5] On dit en beaucoup de manieres, toutesfoiz determineement on ne le scet (JEAN DE SULTANIEH, Mém. Tamerlan M., 1403, 450).
[6] Que ilz deirent on ne scet (* *, 74).
[7] Le seigneur de Simay, ambassadeur du duc de Bourgogne au roi de France] Monsieur votre filz est venu en Bourgoingne, et de la par longues journees, comme ung chevauceur, jusques a Bruselles. Je fus envoyé devers luy aveuc monsieur de Charolois : Dieu scet l'estat ouquel il estoit (...), et avoit une fraieur grande, ne sçay dont cela luy procedoit ; mais je luy dis qu'il devoit faire bonne chiere car il estoit bien logié et seurement. (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 59).
[8] ...n'y avoit ne roy ne duc qui n'en prist chescun couverte ymagination sur son compaignon et par quoy chescun se douloit et doutoit, dont Dieu scet toutevoiez qui bon pelerin estoit et net en sa cause, car a luy sont cogneues les consciences et les humains secretz. (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 90).
[9] ... [Dieu] qui toutes choses peut et scet destourner de leurs fins et linees (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 143).
[10] (r)Et pour ce, sire, monsieur de Bourgoingne ne scet au vray qu'il en est. Il envoie presentement devers vous a deux fins...» (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 179).

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