C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de sces dans la Base des Partiels 

25 attestations 
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[1] Tu monstres bien, o cuer seulet, que tu n'es gueres enbesoigné et que tu es bien de loisir. Tu ne sces pas bien comment il me va de mes affaires; tu si hic sis aliter sencias. (* *, 131).
[2] C'est de par Dieu qu'ilz [les moynes] sont bruÿs, Touz mors, exillez et destruys. Moult y avoit de licheours Et de faulx moynes pecheours, Qui ne tenoyent point la vie Ne l'ordre de leur abbaÿe. Se ton filz est mort avec eulx, N'en ayes marrison ne deulx; Tu sces qu'on dit communement: "Pour un pecheur perissent cent." (COUDRETTE, Mélus. R., c. 1400, 241).
[3] Et ne peus tu bien penser que monseigneur le dauphin ne te donroit sa filhe a fame pour nulle chouse ? Car tropt se mesferoit de donner sa filhe a toy, qui es son homme liege, quar tu sces bien que de pluseurs barons de France luy est requerue. (LA CEPEDE, Paris Vienne K., 1432, 166).
[4] ".. [Ysiphile à Jason:] O mon amy, as tu mis en non challoir la promesse que tu me fis alors qu'en Colcos t'en alas? Sces tu point que tout homme de vocacion noble est tenu sus paine de reproce de payer son promis..." (LEFèVRE (R.), Hist. Jason P., c.1460, 218).
[5] Garde toy bien ! Prochainement Te verras verssé contre terre. Tu ne sces mie moult de guerre - Tien sela et sy te deporte ! Mais je te dy bien et enorte Que de droit doiz paier ton lit. Je m'en yray sy t'enbellit, Et se il ne t'enbellit mie ; S'enporteray de ma partie Le chappon cras. (Vie st Fiacre B.C.P., c.1380-1400, 31).
[6] Sces tu qu'il sera, Maubüé ? Saches, mon courage est müé. Je cuide que nostre creance N'est que fantosme et decevance ; Et pour ce je la vueil lessier. (Mart. st Pierre st Paul R., c.1430-1440, 151).
[7] ...au jour d'uy tu as sauvee L'ame de toy pour cest baptisme Et se ne sces pas la septienne Partïe du bien qu'as acquise (OUDIN, St Genis M.S., c.1490, 72).
[8] Après sces tu qu'il te commande Que tu ne luy done rien a mangier Ne a boire sur poyne de l'emande Et confiscation de tous tes biens (OUDIN, St Genis M.S., c.1490, 87).
[9] Tu sces ausi, il est certaim, Ainsi mesme le dient vous clers Et vous philofes exprés, Que tout humaim entendemant A som premier comansemant Est tout ainsi que une tablecte Rase et plainere sen lectre (Myst. st Sébast. M., c.1451-1500, 187).
[10] Moustre moy vouer que tu sces feyre. (Myst. st Sébast. M., c.1451-1500, 192).

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