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SATAN. Bien scai que par l'eaue passa [le pèlerin] Et que dedens on le lava ; Mes tantost com cognoissance Il ot et apercevance, Sa lavëure pou prisa Et en l'ordure se bouta. (GUILL. DIGULL., Pèler. âme S., c.1355-1358, 25). |
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Ce aussi du tout avorte Mon espoir que ne scai porte Ou point aie d'audience. (GUILL. DIGULL., Pèler. âme S., c.1355-1358, 31). |
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LE P\èLERIN. Së ens [au paradis] a cellui ou celle Qui de graces amoncelle Relief pour faire donnee, Pour avoir en je flavelle, Point ne scai d'autre vielle, Mes annemis l'ont quassee. (GUILL. DIGULL., Pèler. âme S., c.1355-1358, 32). |
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Nul ami n'y ai acqueste. Chascun m'i est enforeste, Moi adrecier ne scai a cui (GUILL. DIGULL., Pèler. âme S., c.1355-1358, 32). |
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LE P\èLERIN \à MARIE. Bien scai qu'en enfer en exil Ou n'est onques ne mai n'avril Et ou tout meschief s'assemble Serai mene, se tu m'as vil (GUILL. DIGULL., Pèler. âme S., c.1355-1358, 35). |
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Tant scai je bien certainement, Se m'aïdies piteusement, Tost venrrai a mes ataintes, Et de Sathan sens targement Et de tout son machinement Seront les barres enfraintes. (GUILL. DIGULL., Pèler. âme S., c.1355-1358, 39). |
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Se n'ai fait ce que doi faire Et toi [S. Benoît], mon droit exemplaire, N'ai comme bon fil ensui, Las m'en claim comme .I. tor en mui, Car refuire ne scai a cui Et me doubte a toux desplaire. (GUILL. DIGULL., Pèler. âme S., c.1355-1358, 39). |
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SATAN AU P\èLERIN. «Forclos donques je ne sui pas Que je ne te puisse accuser Et tes maux en appert monstrer, Mes pour ce que ne scai pas tant Com Synderesis, la vaillant, Je li lais toute l'accion ; Tant seulement tabellion Vueil estre de ce que dira Et de ce que proposera.» (GUILL. DIGULL., Pèler. âme S., c.1355-1358, 50). |
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LE P\èLERIN. «...Se ne scai que senefie Celle autre espere blenchace Qui tout en tour [de la première sphère] tient la place.» (GUILL. DIGULL., Pèler. âme S., c.1355-1358, 121). |
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Attestation de 