C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de saye dans la Base des Partiels 

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[1] Vos aueis, bien saye say[e], mainte maint[e] denir, ç'aueis gaingnis al espargnir, Al uzureir et termineir. (Sept péchés C., c.1300-1350 [p.1478], 211).
[2] Et si m'ose bien porter fort Qu'il n'y a de Paris juqu'a Tours Celle qui saiche mieulx les tours Que je saye, ne en toutes places. (Pipée R., c.1470-1480, 177).
[3] La premiere, qui estoit l'ainnee, estoit vestue d'une cote de drap de saye plus blanche que nege. Et pardessus portoit un auber de fin or relyusant. (MéZIèRES, Songe vieil pèl. C., t.1, c.1386-1389, 199).
[4] Et en certaines ysles fait si tresgrant chault que les hommes sont vestuz de rayz de saye, et a chacun neue est atachee une pierre precieuse. (MéZIèRES, Songe vieil pèl. C., t.1, c.1386-1389, 222).
[5] Encores, au plushault du mast avoit ung long arbre de travers du mast, qui est appelle anthenne ; ceste enthene ou vergue estoit du bois de palme ; a laquelle laque[lle] vergue pendoit un grant voile quarre d'un fin drap de blanche saye, sans ouvrage, venu de Tartarie. (MéZIèRES, Songe vieil pèl. C., t.1, c.1386-1389, 538).
[6] Encores, y avoit XXIIII cordes grosses de fine saye de diverses couleurs, XII a chacun couste de la nef, qui estoient atachiees et fermees au plushault du mast et aux deux bors et lez de la nef (MéZIèRES, Songe vieil pèl. C., t.1, c.1386-1389, 539).
[7] ...la richesse de la nef, faicte des personnes, paix et transquillite, et maintes autres biens, nul ne pourroit espriser, tant y avoit or et argent, draps d'or et de saye, et de pierres precieuses, souveraines espices, et fins aromaz qui valoient plus X foiz que la cite de Damas. (MéZIèRES, Songe vieil pèl. C., t.1, c.1386-1389, 545).
[8] Encores, a la dicte vergue pendoit un grant tref quarre de saye blanche, ouquel tref avoit ou millieu une croix grande et vermeille ; et ou millieu de la croix ung aignelet occis figure. (MéZIèRES, Songe vieil pèl. C., t.1, c.1386-1389, 556).
[9] "Ceste pierre de taille est transmuee en beau palais, chasteaulx et forteresses, en draps d'or et de saye, et en linge subtil, et robes sans nombre, qui sont pendues aux perches..." (MéZIèRES, Songe vieil pèl. C., t.1, c.1386-1389, 586).
[10] Le papeillon vient d'un grain duquel se fourme vng ver qui se nourrit de feulles par quoy il lui vient elles qui le font volant et est de pluseurs couleurs et a la fin de ses iours deuant sa mort pert ses elles et son corps deuient saye en vng petit moncel et dedens croist vng grain dont il reuient a naissance. (Best. hérald. H.E., c.1435-1450, 488).

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