C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de saveroit dans la Base des Partiels 

7 attestations 
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[1] ...c'est la chalyn de pecché qe me tient si fort et si continualment qe le peril de mort est trop grant, et trop desnaturel est, qi bien saveroit [saveroit] voir les grandes naturesces qe luy douz Jesus nous ad moustree bien sovent - et uncore avons grande bosoigne et pur nostre desnaturesce q'il ne cesse pas de la sue. (HENRI LANC., Seyntz medicines A., 1354, 148).
[2] ...c'est la chalyn de pecché qe me tient si fort et si continualment qe le peril de mort est trop grant, et trop desnaturel est, qi bien saveroit [saveroit] voir les grandes naturesces qe luy douz Jesus nous ad moustree bien sovent - et uncore avons grande bosoigne et pur nostre desnaturesce q'il ne cesse pas de la sue. (HENRI LANC., Seyntz medicines A., 1354, 148).
[3] Et autre chose ne plus avant ne saveroit depposer du contenu esdis articles (Trés. Reth. L., t.3, 1415-1490, 375).
[4] Et apprez la reverence faicte à chascun selon son estat, y ot pluseurs devises par entre ledit comte et icellui Flocquet, ouquel ledit comte requist qu'il ne voulsist pas logier sur ses chastelleries de Peronne, Montdidier et Roye, ne sur le pays du duc son oncle, et qu'il voulsist prendre son chemin autre part, et, en ce faisant, luy saveroit bon gré. (...) Toutes fois ledit Flocquet, sans aultre appoinctement, s'en retourna en son dit logis de Pierrepont, disant qu'il n'estoit point ung pouillailler. (ESCOUCHY, Chron. B., t.1, c.1461-1472, 13).
[5] ...à Saint-Augustin, qui estoit noble eglise et grande, laquelle, en ce mouvement [de terre], fu toutte tresbuchée et versée ; et furent les deux maistresses des voultes ouvertes, et tellement cheurent en bas que tout fut effondré, cassé et brisé, par telle foudre, que nulz ne oseroit ne saveroit penser. (ESCOUCHY, Chron. B., t.2, a.1465, 345).
[6] Item, et en icellui Royalme de Naples, une ville que l'on appeloit lors le Chastel-Noeuf, laquelle toutte entièrement fut ruée par terre, par si grant horribleté, que nulz ne le porroit ne saveroit plus dire ne declairier. (ESCOUCHY, Chron. B., t.2, a.1465, 347).
[7] ...auxi m'avéz commandé d'envoier pardevers vous a Hereforde le susdit vendredy ou samady a bone matyne ascune sufficeante personne de mon conseil que vous saveroit bien enfourmer de tout moun fait a present en Gales (Lettres agn. L., 1369-1412, 314).

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