C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de sallaires dans la Base des Partiels 

6 attestations 
 Page /1 

[1] ...pour sallaires d'avocas, procureurs, fraiz de impectracions et autres escriptures touchans lesdictes obligacions pour dilayer à terminer les payement d'icellui (Comptes Etat bourg. M.F., t.1, 1419-1420, 113).
[2] ... [il] escripvit à ung nommé Plat, courratier, qui avoit ladicte espicerie en garde, qu'il la baillast et délivrast à sondit frère, lequel Plat, qui avoit bonne congnoissance de luy qui parle, vendit partie de ladicte espicerie et l'argent qui en yssit bailla à sondit frère réservé aucunes sommes de deniers que ledit Plat retint tant pour voictures, louages de maisons, utencilles, despenses et sallaires de serviteurs et autres choses (Aff. Jacques Coeur M., 1453-1457, 39).
[3] \à Jehan Bourdichon, paintre et enlumineur - tant pour ses peines et sallaires d'avoir pourtrait et paint huit patrons de plusieurs sortes, au plaisir dudit seigneur (Comptes hôtel rois Fr. D.-A., 1380-1481, 386).
[4] \à Jean Voisin, portier dudit seigneur - pour ses peines et sallaires, son vivre d'un paige de deux grans dougues naguières venuz d'Angleterre, que ledit seigneur luy a fait mener à petites journées, ou mois de mars derrenier passé, depuis Tours jusques en la maison du Grand Veneur (Comptes hôtel rois Fr. D.-A., 1380-1481, 388).
[5] ...quand les huilliers de Paris font quelques huilles pour le peuple, ils ou aulcuns d'eulx retiennent et aplicquent a leur prouffit les tourtes ou pains de noix, pavots, chenevis et autres matières que le peuple leur baille pour faire huille, et les vendent bien chères, et neantmoins se payent de leurs sallaires de faire ladite huille, laquelle chose est contre raison. (Mét. corp. Paris L., 1351-1500, 554).
[6] Et pour ce avons deffendu et deffendons auxdits huilliers que doresenavant ne retiennent aucunes des tourtes ne pains dessusdiz, mais leur avons ordonné et commandé, ordonnons et commandons qu'ils les rendent aux bonnes gens avec leurs huilles, en eux payant raisonnablement et moderement de leurs sallaires et façon de ladite huille, selon la qualité et quantité qu'ils en feront (Mét. corp. Paris L., 1351-1500, 554).

Fermer la fenêtre