C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de sage dans la Base des Partiels 

185 attestations 
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[1] mais seulement disoient ledit duc de Bourbon et ses aliés que le roy n'estoit pas sage assés pour avoir et gouverner le royaulme de France, lequel il convenoit estre gouverné par les nobles du sanc de France et non point par ledit roy seul ne ... sa voulenté, qui est directement contre le dit du philosophe disant: Pluralitas principum mala . (* *, 53).
[2] ...par consideration au bien et utilité puplique de ce royanme, ly [le duc de Bourgogne], qui sage et preudomme estoit et avoit tousjours jusques droit cy sagement ouvré en tous ses aultres affaires, encore le jugoit on tresnecessaire et souverainement utille a longue vie, car estoit sa personne seule plus cremue et plus doubtee entre ses ennemis que tel avoit empire entre mains et fierté de C mille hommes a sa queue. (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 144).
[3] ...il [le duc de Bourgogne] savoit bien que elles [des Parisiennes] estoient de ceur et d'affection a ly et enclinees envers sa maison ; (...) il leur voult envoier a chescune une petite souvenance pour leur donner cause de plus encore parler que devant ; et en ce se monstra sage et de hault corrage, et que a toute faculté de gens avoit l'oeil la et quand il failloit. (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 240).
[4] A non Dieux, entre ceaux qe soeffrent tant de mesaise, comme de meynt malveis mangiers et pires boires, mau choché et mau vestu, si q'entre tiels gientz purroie jeo trover de faire moun pru, si jeo feusse sage (HENRI LANC., Seyntz medicines A., 1354, 14).
[5] Et si eusse estee sage, jeo eusse fait apres vostre bon conseil qe ditez en le Ewangelie : qe nous deusseons couper le piee et crever l'oil, s'il nous grevast, car meultz, si come vous ditez, vauroit estre cloup et ou un oil en paradis qe tout droit ou diaux oeux aler en enfern. (HENRI LANC., Seyntz medicines A., 1354, 165).
[6] Et que pis est, helas, et grant vergoingne a grans pastours des ames, car jusques a hores il ne s'est trove en Israel ne en la synagoge sage fusicien, prince pharisien ou sage escrivain qui a curer ceste frenesie et mortele maladie ait offert son aide et ses mains debonnaires, se n'est par escripture ou par l'espee trenchant, en confourmant la maladie et lez plaies multipliant. (MéZIèRES, Sustance H., 1396, 62).
[7] Et que pis est, helas, et grant vergoingne a grans pastours des ames, car jusques a hores il ne s'est trove en Israel ne en la synagoge sage fusicien, prince pharisien ou sage escrivain qui a curer ceste frenesie et mortele maladie ait offert son aide et ses mains debonnaires, se n'est par escripture ou par l'espee trenchant, en confourmant la maladie et lez plaies multipliant. (MéZIèRES, Sustance H., 1396, 62).
[8] ...car rien n'est parmanent soubz le soleil, ains sont toutes choses vanité et affliction d'esperit. O comme est cil sage qui ainsi considere ! (Internele consol. P., 1447, 152).
[9] Com plus est ung homme humble en soy et plus subget a Dieu, tant sera il en toutes choses plus sage et plus rassis et apaisié. (Internele consol. P., 1447, 282).
[10] Le philozophe fut moult sage Qui dist en la premiere page De sa noble Methaphisique Que humain entendement s'aplique Naturelment a concevoir Et a aprendre et a savoir. (COUDRETTE, Mélus. R., c. 1400, 107).

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