C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de sache dans la Base des Partiels 

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[1] Afin que on sache que Bertin de Berneual auoit pieça mauuestié machinée en son courage (BONTIER, LE VERRIER, Canarien G., c.1425 [1482], 16).
[2] Or tendez dont la sache mieulx! (Janot Jan. A., c.1450-1500, 150).
[3] ...la premiere [condition] est telle que vous soyez grosse d'enfant de moy et sy n'en sache rien (Comte Artois S., c.1453-1467, 24).
[4] Si appella ung jour quatre maistres massons qu'il tenoit a covenant et leur dit : "Je veulh que vous me faictes ung peu de ediffice qui m'est necessaire, mes je veulh que vous soyés maistres et manuvriers, car je veulh que arme du monde n'en sache riens, fors que entre vous et moy." (LA CEPEDE, Paris Vienne K., 1432, 217).
[5] Je sçay bien que je ne suis pas grant ne menbru comme un geant, neantmoins je voeil bien qu'on sache que nul geant n'a plus grant cuer de moy. (LEFèVRE (R.), Hist. Jason P., c.1460, 141).
[6] Les jennes ne poeuent oyr la doctrine des vieulz et cuident estre si sages que l'en ne leur sache rien monstrer. (...) O, que malditte et aveuglee jennesse! (LEFèVRE (R.), Hist. Jason P., c.1460, 157).
[7] .. "Sire chevalier, vos avez beaucoup veu en vostre tamps: Par vostre foy, vous congnoissiez vous point en songes?" - "Pour quoy le demandez vous?" respondy le chevalier. - "Pour ce," dist Jason, "que je ne cessay anuit de songier." - "Par ma loyauté, mon filz," dist le chevalier, "se vous avez aulcune chose songie qui ait mestier d'exposicion ou devinement, il n'est homme en toute Grece qui mieulx de moy vous en sache respondre..." (LEFèVRE (R.), Hist. Jason P., c.1460, 160).
[8] Durant ces devises, le comte du Maine et le comte de Saint-Pol se tirèrent à part et dirent l'un à l'autre: "Il convient que faisons aucune chose dont on sache à parler..." (Faits Lalaing K., c.1470, 40).
[9] Missire Charles, voyant la courtoisie du chevalier, l'en mercya de tres bon cueur, tant que les larmes luy en viennent aux yeulx pour ce qu'il a pour qu'il ne luy puisse guerdonner sa courtoisie ; si luy dist : "Monseigneur de ceans," aprés qu'il eut mercyé, "je voy tant de prodomise en vous que je sache chevalier, fors ung, a qui j'eusse plus de fiance qu'a vous n'ay..." (Charles de Hongrie C., c.1495-1498, 131).
[10] Sire, ce soit en pute estraine Qui vous a ycy amené. Il fault que vostre demené Sache l'evesque sanz atendre. (Vie st Fiacre B.C.P., c.1380-1400, 23).

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