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Maintenant je vous vuilz reprandre ; Il pert bien que vous ne sçavés riem. Dictes, ne sçavés vous pas bien Qu'il covyent necessairement Que ung homme meure pour le gent, Affin que ne perisse toute ? (Pass. Semur D.M., c.1420 [1488], 153). |
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Haa ! guarceon, par Dieu, il me sanble Qu'an ta vye ne feras bien Ne jamais tu ne vaudras riem, Toujours ne foix que ranponner. Je vous en tireré le néz Et les oreille tout amsanble, Sainglant guarceon, ce te puis prandre. (Pass. Semur D.M., c.1420 [1488], 208). |
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Ne changons rien [rien], le jour est bien. Puis dont ycy [ycy] ne fauldrons riem De venir trestout au rencontre. (Myst. st Bern. Menth. L., c.1450, 27). |
| [4]
Vous aurez boyre encore ung cop, Puis payerés pay[e]rés tant que je dy. Deux gros pour homme, avés oÿ ? Je n'em sçauroye riem rabbattre. (Myst. st Bern. Menth. L., c.1450, 39). |
| [5]
Mon seignieur, je n'en ferey riem. Ne suys digne ; n'em parlez plus. (Myst. st Bern. Menth. L., c.1450, 111). |
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Attestation de 