C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de ray dans la Base des Partiels 

8 attestations 
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[1] Mais a voir dire le sacrement de l'autel est le principal car de lui principalment est venu et yssu le ray et le fondement de l'amour divine. (Horloge de sapience S., c.1389, 121).
[2] Jeshucriz, roys puissans sanz nombre, Fol fuy quant j'osay renoier Vous, et Entrecrist deproier, Pour ce que il m'avoit rendue Ma clarté que je ray perdue (Jour Jug. R., c.1380-1400, 242).
[3] Et pourtant, mes amys, pansés Que belle sen comparaciom Est caste generacion Quant avec soy a charité, Mes encour est elle plus belle Quant casteté est avec elle ; Mes quant encour avec cella Le ray de charité y vaz, Ell'est tresque belle alors Sus trestoutes beautés de cors. (Myst. st Sébast. M., c.1451-1500, 110).
[4] En celle dollente penssee ainsi que j'estoye, la teste baissiee comme personne honteuse, les yeulx plains de larmes, tenant ma main soubz ma joe acoudee sur le pommel de ma chayere, soubdainement sus mon giron vy descendre un ray de lumiere (CHR. PIZ., Cité dames C., c.1404-1407, 621).
[5] ...comme ray et resplandeur de Dieu et messagiere de sa bonté, je frequente entre les justes personnes et leur admonnestre tout bien a faire, rendre a chacun ce qui est sien selonc leur povoir, dire et soustenir verité, porter le droit des povres et des ingnocens, ne grever autruy par exurpacion, soustenir la renommee des accusés sans cause. (CHR. PIZ., Cité dames C., c.1404-1407, 633).
[6] ...rien ne croist ne ne fructefie ou le ray du soleil ne puet attaindre. (CORBECHON, Soleil Lune S., 1372, 348).
[7] Item, ung gros livre, couvert de parchemin, ouquel sont les extratz de plusieurs anciens registres de la court du bailliage d'Amont, transumps, copies de lettres, enquestes et informacions touchans la souveraineté de monsr le Duc et Conte de Bourgoingne, le batz et ressort de ses prévostez de Jussey, Jonvelle, Autrey, Champlite, Ray et autres lieux estans oultre la riviere de Soone et qui sont notoirement du Conté de Bourgoingne. (Ecorch. Ch. VII T., 1438-1451, 182).
[8] ...Chirs sires, vos n'aveis nint encors veüt tot ce qu'il y at, et ne vos emmaniies nint de vostre estat, car vos ne fuistes onkes sy riche que vos esteis. Je ray en ma main tos vos hyretaiges enwagiez et tous vos joveaz, et les ay rachateis de vaches et de brebis. Assy grant plaisance que vos aveis d'acquere l'oneur do monde, ... laqueile je part avoek vos, ja soice que vous en aiies les plaiiez et le travailhe, ay je delle chevanche mondaine por stopeir vos afforains despens, sy que c'est bin raisons que voz y parteis. (HEMRICOURT, Miroir Hesb. B.B., 1353-1398, 172).

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