| [1]
Et pour ce, par l'espace de mil et VI. cents ans et plus, en toutes lays et sectes et par tout le munde a esté plus accepté et en plus grande auctorité que quelcunque autre escripture de policies mundaines. (ORESME, Pol. Arist. M., c.1372-1374, 44). |
| [2]
Mes se ce estoit verité, il s'ensuiroit que selon couleur et selon quantité de corps et selon quelcunque superabundance de bien ceulz qui excederoient ou sourmonteroient en tel bien deussent justement plus participer as princeys politiques. (ORESME, Pol. Arist. M., c.1372-1374, 138). |
| [3]
Et la quinte espece de royalme est quant un est seigneur de toutes choses en la maniere que une gent quelcunque et une cité quelcunque de communités est ordenee selon yconomique. (ORESME, Pol. Arist. M., c.1372-1374, 148). |
| [4]
Et la quinte espece de royalme est quant un est seigneur de toutes choses en la maniere que une gent quelcunque et une cité quelcunque de communités est ordenee selon yconomique. (ORESME, Pol. Arist. M., c.1372-1374, 148). |
| [5]
Et donques ne avoient il nul droit a la terre de promission par quelcunque lay humaine, mes seulement du don de Dieu. (ORESME, Pol. Arist. M., c.1372-1374, 156). |
| [6]
Mes il prent ici bannause plus largement pour quelcunque artifice mechanique ou servile. (ORESME, Pol. Arist. M., c.1372-1374, 171). |
| [7]
Et donques en policies bien atrempeez ou bien ordenees il convient garder, aussi comme autre chose quelcunque, que elles ne soient de rien privé et ne despointiés ou deffraudees. (ORESME, Pol. Arist. M., c.1372-1374, 225). |
| [8]
Et ce funt il mesmement en quelcunque lieu ou l'en ne prent grans emolumens es princeys ou offices. (ORESME, Pol. Arist. M., c.1372-1374, 262). |
| [9]
Ceulz qui avoient quelcunque office dedens la cité estoient appellés astinomes. (ORESME, Pol. Arist. M., c.1372-1374, 272). |
| [10]
Et ceulz qui avoient quelcunque office hors la cité en la region ou territoire estoient dis agronomes. (ORESME, Pol. Arist. M., c.1372-1374, 272). |
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Attestation de 