C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
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215 attestations 
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[1] Car mon fils at en ame mise Entendement et volunté: Ce sont II ouyl qui sont donneit Por ensengnier et por induyre Li entendement et por instruir Le bien de mal et por aprendere aprend[e]re Que c'est qui qu[i] on doit laisier ou prendre. (Sept péchés C., c.1300-1350 [p.1478], 221).
[2] I'aie ai]e[ tout ce que qu[e] ons puit souhaidier Et si ne puis ascassier Mon cuer, qu'il ne veulh auoir plus. (Sept péchés C., c.1300-1350 [p.1478], 236).
[3] Nous santiens la terre tranbler Qu'il sanbloit qu'elle voulsist soudre, Et ung ange, rouge com foudre, Leva le tonbeaul quil qu[i]l estoit sus ; A dextre part s'assit dessus. (Pass. Semur D.M., c.1420 [1488], 259).
[4] Je [Je] luy metray si dure vie Quil [Qu]il ne aura garde d'enchanter. (Mart. st Pierre st Paul, fragm. Anholt R., c.1480-1500, 203).
[5] Mais li mondes est empirez Puis ce temps, et si atirez Que Qu[e] il n'est un seul qui bien face (Jour Jug. R., c.1380-1400, 216).
[6] ...an tel point avons mis le monde Que Qu(ar)[e] il n'y a nulle riens monde, Mais tuit sont nostre, hommes et femme, Trop po en vit sanz grans diffame. (Jour Jug. R., c.1380-1400, 218).
[7] Ha ! ennemis, que ne m'emportes, Qui ainssinques m'a assotée Que Qu(ar)[e] grosse d'enfant m'a laissiée ! (Jour Jug. R., c.1380-1400, 221).
[8] ...Bien a dix Ans, ou plus, c'uns preudons riches Trespassa qui qu('il)[i] n'estoit pas chiches Aux povres gens, mout estoit saiges, De sa mort fu trop grans damaiges. (Jour Jug. R., c.1380-1400, 227).
[9] ...dit ainsi le chancelier, que qu[e] le roy avoit benignement ouy ce que lui avoient exposé, et quant aux requestes qu'ilz avoient faittes, tant de adherer à la determinacion des cardinaulx, comme à leur donner conseil, confort et aide, le roy n'estoit pas encore conseilliez de consentir ou nier la ditte adheracion (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V S. II, 1404, 143).
[10] «...Je loe que de matin (...) Soiënt trestoux armés sergans et Esclavon, Et cilx qui qu[i] en loeurs mains poeuent porter baston, Et voisent la endroit pour la deffencïon...» (Huon Bordeaux B., c.1401-1450, 183).

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