C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de puest dans la Base des Partiels 

18 attestations 
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[1] ADRIANUS. (...) Savoir vueil conment les debvrons Assaillir, ne par quelle forme ? L'EMPEREUR. Par la voye la plus enorme C'on puest en guerre proceder, Sans deffier, ne sans mander Nostre venue au roy de Parthe (Myst. st Adr. P., c.1450-1485, 59).
[2] Pour ce, voulons savoir briefment Qu'il em puest estre ; Car, s'ainsi est, grande moleste Luy en ferons. (Myst. st Adr. P., c.1450-1485, 68).
[3] Aussi a y fait ciel et terre Et tout ce que l'en y puest faire, Croy le, et tu feras que saige. (Myst. st Adr. P., c.1450-1485, 79).
[4] Noble seigneur, a dire voir, Selon ce que m'en puest sembler, Ferez bien d'envoyer parler Vostre marischal Adrien A ces malheureux crestien (Myst. st Adr. P., c.1450-1485, 91).
[5] Car par une taisible maniere et par un dent que l'en ne puest sentir le temps admoindrit la chose que nature fist et attennit tant que aulcune foiz celle qui avoit esté retourne en neant (PREMIERFAIT, Cas nobles hommes G., 1409, 112).
[6] «...car vostre juge ne puis je pas estre, car, conme le prestre ne puest pas estre juge de la temporalité, non puet le roy de l'espirituauté». (Songe verg. S., t.1, 1378, 9).
[7] Je ne fais grant differance entre cens ou rentes, et exactions qui se font deüement, et diz que, ainsi conme je puis aucune rente ou cens annuel, qui me seroit deü, demander et exiger, par paraille voye, le roy de France en son royaume, pour deffendre son païs et son pueple, puest, en temps de neccessité et de guerre, lever aides convenables (Songe verg. S., t.1, 1378, 44).
[8] Or est il certain que le prince temporel ne puest estre seigneur unniversel et seul en espirituauté et en la temporalité, car il n'est pas prenable de juridicion espirituele (Songe verg. S., t.1, 1378, 58).
[9] Item, ceste inconvenience puest estre provee par la Loy divine, laquelle ne deffent pas mez laisse que un honme marié puist estre prestre ou evesque, maismement quant il n'avoit eu que une seule fame (Songe verg. S., t.1, 1378, 104).
[10] Ou puest estre respondu, aultrement, que cez mos «mien» et «tien» puent estre pris improprement, ainsi conme lez vachiers et lez pasteurs appellent lez vaches et lez berbys seues, pour cause que ilz en ont la garde (Songe verg. S., t.1, 1378, 108).

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