C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de prise dans la Base des Partiels 

135 attestations 
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[1] ...le Roy fist assaillir ladicte place, laquelle fut gangnee et prise d'assault moult vertueusement (LE BOUVIER, Chron. Ch. VII C.C.J., c.1451-1455, 257).
[2] ...si tost que [le seigneur d'Aussy] arriva a Bruselles, s'allita tout quoy et se trouva en grant peril de mort aveuquez pluseurs aultres qui tous furent entechiéz de maladie prise oudit pays de Zeellande. Mes le conte, desirant soy trouver devers son pere le duc et, de la, devers la contesse sa femme, lessa les maladez dariere ly audit Bruselles et de tire s'en ala a Mons en Hainaut, la ou le duc se tenoit pour celle heure et y besongoit aveques les estaz du pays. (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 140).
[3] ...ladicte court a prise cognoissance de causes par senestres informations d'aulcunes maulvaises et rebelles gens (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 157).
[4] ...comme le duc et son conseil cuidoient estre au deseure de cest estrif par vertu de la translation faitte autentiquement par nostre Saint Pere, et que le nouvel evesque de Tournay, cely qui soloit estre de Toul, avoit ja prise la possession [de l'évêché de Tournay] en propre personne et en grant astuce et hardement de ceur, toutevoies le roy et ceulx de son conseil ymaginoient bien proceder alencontre et de tellement y pourveoir par sens et par longues voyes que leur querelle en demourroit en l'avantage du bel (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 265).
[5] Aprés la prise de toutes les medecines cy dessus repetees pour reconfonter l'esprit, il fault que la dame se doye mirer en un miroir vivificatif, c'est assavoir ou miroir de la passion du doulz Jhesu, vray espous de son ame. (MéZIèRES, Vertu sacr. mar. G.-K., c.1384-1389, 48).
[6] ...car meynte foize en ai jeo pecché par mes mayns, come quant j'ai riens fait par mes mayns de force ou de chosez qe j'ai pensee qe m'atourna a vaillantise ou a ascun prise de monde, et me semble mes brasez et mes mayns de taille ou d'autre beauté plus q'ils n'estoient (HENRI LANC., Seyntz medicines A., 1354, 66).
[7] ...puis se ferirent entre leurs ennemis de tel courage que ce sambloient leupz ravissans entre brebis, dont le conte d'Artois fu esjoÿ trez adcertez et dit en son secret estomacq s'il ne fait plus fort c'onquez mais il ne se prise ung denier (Comte Artois S., c.1453-1467, 42).
[8] Puis entrarent en une aultre chambre, ont il avoit pluseurs faulcons en mue, et aultres qui estoient en sepon : oustors, espervyers et toutes manieres d'oyseaulx de prise. (LA CEPEDE, Paris Vienne K., 1432, 125).
[9] Ja avés oÿ Melyatir, quy voelt dire et maintenir que celle damoyselle estrange a esté prise en fait prouvé, ayant la main sur le couttel dont la seur du duc a murdry. (Gérard de Nevers L., c.1451-1464, 120).
[10] «...Car moult volentiers l'euisse prise [a femme] se ce ne fust par mes barons, quy le me desloerent.» (Gérard de Nevers L., c.1451-1464, 130).

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