| [1]
et nous prions (...) que les dictes parroisses ilz ne pillent, appatissent ou composent ne rançonnent (Chron. Mt-St-Mich. L., t.1, Pièces diverses, 1418-1432, 197). |
| [2]
...car vous, tresdouz Sires, estes tout dis pres et prest de nous touz rescouer a noz bosoignes si nous de bon coer vous en prions et a temps. Car quant les enemys sont touz entreez, nostre priere de rescouce ne deveroit qe poi eider, mes droit de vostre grace, douz Sire, s'il vous plest a nous eider, et hors getter les enemys de nous. (HENRI LANC., Seyntz medicines A., 1354, 65). |
| [3]
Le roy dist: "N'estoit ce mon frere? Il convient que le dueil s'en passe; Prions Dieu que mercy lui face. Son obseque demain ferons Et pour lui Dieu deprïerons." Ainsi fut dit, ainsi le font; Mile livres de cire en font L'andemain pour l'obseque faire: Il y ot moult beau luminaire. Anthoines et Regnault y furent, Moult bien y firent ce qu'ilz deurent. (COUDRETTE, Mélus. R., c. 1400, 194). |
| [4]
Paix, ne vos veulhies desentire De nos, et nos vos en prions. (All. foi C., c.1350-1400 [p.1478], 258). |
| [5]
Si vous prions, en general, Que bien entendés, bas et ault, Et retenés le principal (OLIOU, Mess. Arg. A., c.1470, 461). |
| [6]
...si vous prions et requerons que vueillez mectre sur nous et noz successeurs tel tribut et revenu comme il vous plaira (Jehan de Paris W., c.1494-1495, 13). |
| [7]
Ne soyez gueres par dela ; Tous vous en [en] prions de cueur fin, Que sans vous nul de nous n'yra, Et tous tandons a ceste fin. (Mist. Siège Orléans H., c.1480-1500, 504). |
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Levés vous, dame, et escoutés. Savés vous pour quoy l'on vous mande ? Nous vous faisons telle demande : Tout le monde nous tient a sire, Cy vous prions vuillés nous dire Ce jamés sera homme naisse Quil nostre puissance abaisse. Dictes le nous sans fable espondre. (Pass. Semur D.M., c.1420 [1488], 80). |
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Si prions tuit la debonnaire Dame, tresoriére de grace, Que par sa proiere nous face Mettre a euvre et retenir Ce que diray (Jour Jug. R., c.1380-1400, 215). |
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Prions Dieu qui touz biens conforte Qu'il Qu'i[l] nous vielle touz conforter Et en cest siègle comporter (Jour Jug. R., c.1380-1400, 217). |
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Attestation de 