C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de prinse dans la Base des Partiels 

175 attestations 
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[1] Si dessendi mgr. de Bethencourt ... terre, et ala ... la ville o- il auoit ... besongner, et trouua que ilz deffaisoient vne nef de plusieurs abillemens que ilz auoient prinse, nous ne sauons sur qui. (BONTIER, LE VERRIER, Canarien G., c.1425 [1482], 5).
[2] La benediction prinse de monsseigneur le Partriarche, la present, et leur oblacion faicte comme de grosses chandelles et ciergez de bougie. (BARBATRE, Voy. T.-C. P., 1480, 105).
[3] ...affin qu'ilz ne feissent aucuns maulx deshonnestes, comme on fait a la prinse de telx villes (LE BOUVIER, Chron. Ch. VII C.C.J., c.1451-1455, 226).
[4] ...doubtant aussi qu'elle ne fust prinse d'assault et par ce perye, pillee et destruicte (LE BOUVIER, Chron. Ch. VII C.C.J., c.1451-1455, 299).
[5] ...doubtans que la ville ne fust prinse par force et par ce pillee, robee, desollee et destruicte (LE BOUVIER, Chron. Ch. VII C.C.J., c.1451-1455, 316).
[6] quelque destourbier, arrest, courerie, contrainte, vexacion, composicion, prinse, emprisonnement, exaccion (Chron. Mt-St-Mich. L., t.2, Pièces diverses, 1432-1463, 115).
[7] Le chancelier de France aux ambassadeurs du duc de Bourgogne] (r)Le tiers touchant la voulenté que mondit seigneur [le daulphin] dit avoir de s'employer au voyage de Turquie (...). Et semble bien que c'est une novelle couleur prinse pour tousjours eslongier de son reduire et venir devers le roy...» (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 65).
[8] ...car la meisme fontaine de pitié et de toute doulceur est en ce sacrement receupte et prinse car c'est la plenitude de tous biens. Il n'y a point de raison de querir le ruisseau quant on a la fontaine a l'huys. (Traité S. Sacr. B., c.1451-1500, 149).
[9] ...et par laquele [douceur] aussy paine et labeur, prinse par amour, est doulce et plaisante ou au moins legiere et tollerable. (Traité S. Sacr. B., c.1451-1500, 161).
[10] Et pourtant la char qu'il a pour nous prinse, il la nous propose en viande pour nous inciter par la peuture de sa char a la degustation de sa divinité. (Traité S. Sacr. B., c.1451-1500, 165).

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