| [1]
...je veys grant marchié de grues et de bistardes que on y prent communement, mais on les y appoincte et mengue ordement. (LA BROQUIèRE, Voy. Outr. S., c.1455-1457, 233). |
| [2]
...le chasteau est en avantatge de roche et trois villes asson pié pousees a maniere de ung landier et sont bien grosses et fermes de mur et la premiere quant l'on prent terre s'apelle la Napolle (CAUMONT, Voy. N., p.1420, 27). |
| [3]
...aprés le mettent en petis cournés de terre et la le leessent esfreir jusques tant qu'il se prent et quant il est bien pris, il est fait sucre ; et en telle maniere le faizent mes il y faut pluseurs abillemans et choses a se fere que me semble soient de grans coustatges. (CAUMONT, Voy. N., p.1420, 70). |
| [4]
En ce païs dedans la mer a trois montaignes qui ardent tousjours et l... prent-on du charbon qui tumbe du hault au pié de la montaigne, c'est la ponse de quoy on ponse le parchemin par toute crestienté. (LE BOUVIER, Descript. pays H., p.1451, 88). |
| [5]
En ce païs dedans la mer a trois montaignes qui ardent tousjours et l... prent-on du charbon qui tumbe du hault au pié de la montaigne, c'est la ponse de quoy on ponse le parchemin par toute crestienté. (LE BOUVIER, Descript. pays H., p.1451, 88). |
| [6]
Il y a XIIII journées de désers et l... prent-on les bestes dont on fait les pannes, plus qu'en nul autre païs. (LE BOUVIER, Descript. pays H., p.1451, 100). |
| [7]
Et aussi comme la perle de sa nature prent rondesce, ainsi le dyamant par dyamane uertu prent quarreure. (MANDEVILLE, Voy. L., p.1360, 319). |
| [8]
Et aussi comme la perle de sa nature prent rondesce, ainsi le dyamant par dyamane uertu prent quarreure. (MANDEVILLE, Voy. L., p.1360, 319). |
| [9]
Contre ce venin ne faut medicine que vne seule, et cest que on prent de son propre fiens et le destrempe on en eaue et puis tantost boire, ou on mourroit en leure ; car triacle ne autre medicine ny vault riens, fors ceste. (MANDEVILLE, Voy. L., p.1360, 337). |
| [10]
Il prent moult de exacions et de tailles sur ses gens et si voit voulentiers les estrangiers marchans et leur donne faveur, aide et seurté (JEAN DE SULTANIEH, Mém. Tamerlan M., 1403, 459). |
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Attestation de 