C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de prenent dans la Base des Partiels 

9 attestations 
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[1] ...ilz se mettent a genoulx en mi la rue et puis le corps tout postrat et estendu ... terre, et de ce lieu en avant jusques ... l'ydole ilz prenent leur venue (JEAN LE LONG, Voy. Odoric C., 1351, 114).
[2] Plaisant Maintien et Gente Contenance Prenent maints cuers au bray de Souvenir, Ou languir font les pouvres en souffisance Ainçoys qu'ilz aient aucunë aligence. (RENé D'ANJOU, Cuer am. espris W., 1457, 182).
[3] Congié de leurs amietes Prenent li joli pastour (CHR. PIZ., Dit pastoure R., 1403, 233).
[4] ...contre l'engin, que on appelle moton, on fait un autre, que on appelle loup. Ceulz du chastel font un fer courbe et à tres fors dens agus, et le lie l'en à cordes, par quoy ilz prenent pren[en]t le tref, qui est appellé mouton ; adonc, quant il est pris, ou ilz le trayent du tout amont, ou ilz le lievent lie[ve]nt si hault que il ne peut plus nuire aux murs du chastel (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V S. I, 1404, 238).
[5] Les ungs ilz [les avocats] taillent, les autres ilz escorchent, aux autres ilz prenent leur substance par extreme pauvrete et les laissent mors tous froiz, c'est assavoir par fas et par nefas et par le cliquet de la langue ilz achaptent les rentes, fiez, et seigneuries des nobles et pauvres gentilz hommes (MéZIèRES, Songe vieil pèl. C., t.1, c.1386-1389, 466).
[6] Derechief, nous trouvons armes ou signes de personnes privees, de nobles et de non nobles, dezquelx aucuns prenent leur armes du congié et ordenance du Roy (Songe verg. S., t.1, 1378, 290).
[7] Lez officiaux dez prelas, en troublant la juridiccion du Roy, si s'efforcent d'avoir la cognescence dez contraux, ja soit ce que ilz soient passez par la court seculiere, et prenent, entre lez aultres causes, une couleur, pour cause du serement lequel, conmunement, est mis en tous contraux et en toutes obligacions. (Songe verg. S., t.2, 1378, 153).
[8] ...nous avons esté advertiz que lesdicts gens de guerre dudict Pize, (...) courent tous les jours en ladicte seigneurie de Lucques et y pillent et prenent plusieurs marchandises, biens, sommiers et autres choses (Lettres Charles VIII P., t.4, 1494-1495, 247).
[9] ...nous avons sceu que (...) nostre president du Daulphiné et autres officiers ont porté et portent un seel parmy nostre pays dudit Daulphiné, soubz lequel ilz ont donné et encores donnent provisions aux parties et prenent certain emolument dudit seel, lesquelles provisions ilz ont faictes soubz le tiltre de nostre court. (Lettres Louis XI, V., t.3, 1465-1469, 212).

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