C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de prenant dans la Base des Partiels 

51 attestations 
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[1] L'an mil CCCC et quatre, le ieudi XXVe iour de feburier, deuant caresme prenant, le roy de l'ille Lancelot, payan, requist mgr. de Bethencourt que il fut baptisé, lequel fut batizé lui et tout son menage le premier iour de quaresme (BONTIER, LE VERRIER, Canarien G., c.1425 [1482], 74).
[2] et pour obvier aux fraudes et griefz qui en prenant les diz vivres pourroient estre commis (Chron. Mt-St-Mich. L., t.1, Pièces diverses, 1418-1432, 140).
[3] six deniers esterlins le jour d'icelle monnoie, en prenant le noble d'Angleterre pour six solz huit deniers esterlins monnoie dessus dicte ou autre monnoie coursable en France a la valeur. (Chron. Mt-St-Mich. L., t.1, Pièces diverses, 1418-1432, 294).
[4] pour le temps prenant pié du quinziesme jour du dit moys d'aoust jusques au jour que par le contenu en noz dites autres lettres patentes doit commencier l'entretenue de payement du dit regard, et pour rate d'icellui temps... (Chron. Mt-St-Mich. L., t.2, Pièces diverses, 1432-1463, 163).
[5] Et puis, prenant congié a la seigneurie, par tout retourna a Paris, la ou sa bouce traveilla fort d'essausier le lieu dont venoit (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 240).
[6] Moult furent esbahis princes et barons d'entour ly, et non merveilles, quant virent le souverain des sages et prudens hommes de son royaulme soy mesmes interimer en une folle oppinion, et que non prenant son recours en Dieu qui fait vivre et garir, voluntairement detint a nature sa sustentance, qui demandoit encore duree. (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 310).
[7] Et puis, a Quaresme Prenant, Ne firent ilz belles morisques, Pourtans abys nouveaulx et frisquez, Les uns de blanc fourrés de martrez, Qui dansoient moult bien, et les autrez Pourtans abys de chevalier? De jour et de nuyt par entier Furent armes [l. firent dances], ou il avoit Une dame qui refreschoit Toute la feste (Lord. Tart Ab. L., c.1450-1465, 169).
[8] .. [Cleriadus] chevauchoit tous les jours parmy le païs et royaume, en prenant et recevant les obeissances de tous les seigneurs et vassaulx du royaume. (Cleriadus Z., c.1440-1444, 700).
[9] En prenant congé, elle prit Jacquet par la main et luy donna une verge d'or où par dedans avoit un moult bel rubis enchâssé (Faits Lalaing K., c.1470, 44).
[10] Le roy, que pour lors on tenoit le plus sage prince de son royaume, démarcha un pas en prenant messire Jacques de Lalaing par la main, et en le faisant lever sus (Faits Lalaing K., c.1470, 96).

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