| [1]
Et pourtant, seigneurs crestiens, celluy chemin par terre est serré et diffailli par lez nostres péchiez. (Passage Terre Sainte Piloti D., 1441, 225). |
| [2]
environ sept cens muis de farines qui depuis furent delivrés aus boulengiers de Paris pour faire pain, non pourtant que, loé soit Dieu! on avoit ... Paris grant marché de pain et de vin et de tous vivres. (* *, 70). |
| [3]
...et pourtant, les deux enfans ja venus a eage, [cely de Croy] les fit espouser, faire leurs nopces sollempnelles et couchier ensamble, de quoy ariere la rumeur multiplia et s'enfellit plus que jamés, et tellement que, la ou force ou menasce et main haultaine de seigneur ne pooit avoir lieu par crainte et resoing du maistre que Croy gouvernoit, cely de Saint Pol voult deffaire et diverser le mariage par puissance papale (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 81). |
| [4]
Entre les aultres en y avoit ung jeusne chevalier nommé messire Philippe de Croy, filz de messire Jehan, et lequel avoit esté norry jeusne enfant aveuques le conte [le conte] de Charolois. Mes depuis ung an en avant l'avoit receu le duc et mis en l'ordonnance de chambellan en lieu de son pere, lequel luy avoit resigné l'estat ; mes pourtant ne pensoit point a renoncier a son jeusne maistre ne aux estas de son ostel quand le cas y escherroit, ains esperoit embrascier a deux léz auctorité et gouvernement soubz le hault vol du seigneur de Croy, son oncle, et de [de] son pere (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 104). |
| [5]
Dont, se mal estoit advenu ne esclandre en cestuy noble prince d'Alençon qui en estoit frere [de l'ordre de la Toison d'or], ne vint pas pourtant de la nature de l'ordre, mes de l'infelicité de la personne (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 124). |
| [6]
Et pourtant, donnant pris general a la generalité du nombre, a chescun selon son desservir, tous se monstroient gens de bien et de bon couraige (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 130). |
| [7]
Et pourtant le duc envoya tous les deux chevaliers devers luy [le daulphin] a Geneppe, luy annonchant leur retour ariere devers son pere le roy (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 172). |
| [8]
Et se on voloit dire qu'il y eust aulcune difference entre eulx a cause de la ducié de Lucembourg, le roy ne tenoit pas que pourtant ledit roy de Hongrie et de Behaigne feust ennemi de mondit seigneur de Bourgoingne, attendu que, le roy estant a Lion, ledit roy de Behaigne, pour appaisier ladicte difference, envoia devers ledit roy, offrant soy submettre a lui et tenir son ordonance pourveu que mondit seigneur de Bourgoingne le feist pareillement (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 203). |
| [9]
Mes pourtant ne voult onques souffrir que ceulx de Lucembourg feissent guerre a ceulx de Theonville pour riens qui advenist, se ce n'estoit par constrainte forcee et en leurs corpz deffendant (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 229). |
| [10]
(r)...J'ay fait mes devoirs envers vous d'autant que g'y suis tenu. Se faulte y a au remanant, ne vient pas de moy. Prenez en gré vostre aventure et soiez paciens a tous léz, car, veulliez ou non, vous estes si bien lyéz ensamble que tout le monde, ne pape ne aultre, ne vous deslieroit point. Et pourtant allez vous en voz maisons et faictes voz nopces telles qu'il vous plaira, car, bien pris ou mal pris, vous n'en poez avoir aultre chose.» (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 232). |
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Attestation de 