C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de portees dans la Base des Partiels 

7 attestations 
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[1] Si ne fut pas la requeste moult entrant en l'affection du roy, et fit respondre que la journee ne s'en tiendroit de par luy, mes de la pluspart des articles la court de Parlement en aroit la cognoissance et que la on se trayst quy en aroit besoing. Contenoit aussy l'un des articles du fait de Lucembourg, priant au roy qu'il luy pleust a lever la main de Theonville et de la querelle sur le pays dont il l'avoit fait advertir a Bruges par ses lettres minatoires portees par Rollin Renault. (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 126).
[2] Qui seroit souffisant de tout preveïr et d'eschever tous maulx futurs ? Se les choses preveües bleschent a la fois, que feront les impourveües s'elles ne sont portees agreablement ? (Internele consol. P., 1447, 198).
[3] La .VIIJe. espere aprés c'est celle qui contient les estoilles innumerables que nous appellons fixes pour ce que elles sont toutes aussy comme fichiees et portees en ceste espere d'une maniere ensemble sans point muer leur situacion. La .IXme. espere est la derreniere, qui toutes les autres esperes dessus dictes contient et avironne en soy. (EVR. CONTY, Harm. sphères H., c.1400, 6).
[4] Et sont aujourduy lesdictes eglises appellees portees, en laissant au fermier ferm[i]er pour boire et pou mangier et trespauvres denrees, dont plusieurs ames seront dampnees. (MéZIèRES, Songe vieil pèl. C., t.1, c.1386-1389, 322).
[5] De Jehan de La Jaisse, nagueres grenetier du grenier à sel de Chastillon, la somme de six vins six livres six solz six deniers tournois, qu'il devoit à mondit seigneur à cause de sa gabelle par la fin et reste de son darrenier compte de ladicte recepte sur laquelle reste sont portees toutes les restes des comptes de feu Jaques de La Jaisse, jadiz son frere, et de Pierre de La Jaisse, leur pere et principal debteur pour sesdiz enffans (Comptes Etat bourg. M.F., t.2, 1418-1420, 36).
[6] ...lequel rest ledit receveur n'a peu recouvrer ne recevoir dudit messire Ernoul, obstant que icellui rest et des Renenghes subsequentes sont portees l'un sur l'autre (Comptes Etat bourg. M.F., t.3, 1416-1420, 710).
[7] Si s'en allerent d'ilecques rendre a une chapelle de saint Blaise environ deux portees d'arbaleste de ladite ville d'Alençon (Mir. ste Cath. Fierbois C., 1470-1483, 75).

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