| [1]
Et entre la pointe et l'escu estoit frangié de longues franges de soie houchue. (LA BROQUIèRE, Voy. Outr. S., c.1455-1457, 50). |
| [2]
Et a icellui païs, la mer tout au long jusques ... la pointe de Calabre, qui est païs bossu et est moult bon païs et fertil de blez (LE BOUVIER, Descript. pays H., p.1451, 87). |
| [3]
... [ledit chevalier] party dehors monté et armé sur ung tresbeau destrier ; mes estoit couvert cheval et harnois d'un gros josselin gris, tellement que de ly ne se monstra riens que la pointe des piéz. (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 131). |
| [4]
...messire Jehan de Rebremettes envoya a messire Henry deux demies lances et deux hachez a daggue et a pointe desoulz pour choisir laquele il vouldroit (...). Prist toutevoyes une des hachez et une des lances (...). Et tantost deux gentilz hommes les tindrent sur bout, l'un a destre, l'aultre a senestre, au dehors du pavillon, et pareillement fit on des bastons de messire Jehan de Rebremette aprés luy estre rapportéz. (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 163). |
| [5]
Or vindrent ces deux chevaliers joindre a haces, et commencerent a ruer de durs et perilleux coupz l'un sur l'aultre de la pointe d'embas, et n'y avoit cely qui ne se tint en sa garde et deffence sur son compaignon, rabbatans tousjours les coupz de l'un l'aultre sans pooir joindre au corps, car tousdeux savoient du mestier assez (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 167). |
| [6]
Or vindrent ces deux chevaliers joindre a haces, et commencerent a ruer de durs et perilleux coupz l'un sur l'aultre de la pointe d'embas, et n'y avoit cely qui ne se tint en sa garde et deffence sur son compaignon, rabbatans tousjours les coupz de l'un l'aultre sans pooir joindre au corps, car tousdeux savoient du mestier assez (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 167). |
| [7]
Il est vray que ne la mere de Egipte et de Surye, de Grece et de Ytalye, qui est appellé le mer Adriane, en chascune galée ou nave ou aultre vaissiau de mer, les patrons, comites ou nocliers, gouverneus des naviles susdis, ont une boiste qui est appellee la boiste ou aguille de navier, dedans laquelle boiste ou millieu, sur une petite pointe de metail a une petite tablete, plate et ronde, en maniere de roe, tournant assise sus ladite pointe (MéZIèRES, Vertu sacr. mar. G.-K., c.1384-1389, 53). |
| [8]
Il est vray que ne la mere de Egipte et de Surye, de Grece et de Ytalye, qui est appellé le mer Adriane, en chascune galée ou nave ou aultre vaissiau de mer, les patrons, comites ou nocliers, gouverneus des naviles susdis, ont une boiste qui est appellee la boiste ou aguille de navier, dedans laquelle boiste ou millieu, sur une petite pointe de metail a une petite tablete, plate et ronde, en maniere de roe, tournant assise sus ladite pointe (MéZIèRES, Vertu sacr. mar. G.-K., c.1384-1389, 53). |
| [9]
...finablement la pointe de la dicte aguille ag[u]ille, ainsi touchie, comme dit est, a son droit, regart a l'estoille fixe et non erratique qui est appellee l'estoille tremontane, par laquelle estoille tous les maroniers cognoissent leur chemin. (MéZIèRES, Vertu sacr. mar. G.-K., c.1384-1389, 53). |
| [10]
...en la roe, qui est principale chose de la dicte figure, se puet entendre le cuer de l'omme et de la femme qui est une grosse aguille precie a son gros et agüe a la pointe et bien poingnant par desiriers et poignans appetis. Par la pointe de metail agüe qui soustient la roe et est souvent enroullie, se puet entendre la vie de l'omme qui n'est que une petite pointe, non pas d'or ou d'argent, ne d'acier, mais de metail legierement pourri et defaillant. (MéZIèRES, Vertu sacr. mar. G.-K., c.1384-1389, 55). |
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Attestation de 