| [1]
Autres plais me sourdirent a cause de heritages. sur lesquieulx on demandoit anciene rente et grans arrerages (CHR. PIZ., Avision T., 1405, 155). |
| [2]
Mes pource que comparoisons sunt haineuses et qu'en ce seroient difficultés innombrables et plais ou controversies interminables (ORESME, Pol. Arist. M., c.1372-1374, 139). |
| [3]
...et se doibt comparer aux jours des eauez et forestz et aux plais du chastellain quant il en est necessité et il luy est fait savoir par les officiers du roy en ladicte forest. (HECTOR DE CHARTRES, Cout. R., 1398-1408, 280). |
| [4]
Par trestout le royaulme en est ly plais allez: En Hainnault, en Brabant parloit on à tous lez Du bouchier qui c'estoit si noblement portez Que tous ceus de Paris avoit reconfortez. (Hugues Capet L., c.1358, 96). |
| [5]
Mains chevallierz i ot adont à le mort trais, Car ly enfant Huon fierent à pau de plais Dessus le gent Fedri qu'il treuvent au harnais (Hugues Capet L., c.1358, 115). |
| [6]
Bien le cuida ly rois et créoit bien leur plais (Hugues Capet L., c.1358, 181). |
| [7]
«...Pour ce que ceste gent ont entendu les plais Que je sui gentilz homs et de noblesche estrais Me sert on largement sans espargnier nulz frais...» (Renaut Mont. B.N. V., c.1351-1400, 461). |
| [8]
Comme pluseurs discors et materes de plais soient apparans de mouvoir ou estre entre lez religieux de l'eglise d'Auchi de les Hesdin d'une part, et les maieur, jurés et le communauté de la dicte ville de Hesdin ou leur procureur, d'autre part, pour tant que à chascun peut touchier et dont en le procecution des dis descors les dictes parties porroient estre griefment dommagiés (Hist. dr. munic. E., t.1, 1330-1482, 588). |
| [9]
...quant aux mises pour la despence des dictz eschevins, fais les jours que l'on a accoustumé de tenir plais et jours de trieves ou aultres jours accoustuméz et pour la despence de la garnison qui se faict en la dicte halle, tant en laigne comme en aultre choses, duquel usaige nous feusmes deuement informéz, nous disons et appoinctons que le dicte despence demoura es dictes comptes (Hist. dr. munic. E., t.2, 1330-1498, 149). |
| [10]
...en la dicte ville de Saint Aumer, nous avons certains amans pour clains et respons et pour debtes et certaine Loy que on nomme le vierscaire, qui tiennent certains plais ordennéz entre les parties (Hist. dr. munic. E., t.3, 1330-1500, 434). |
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Attestation de 