| [1]
Et ainsi fut fait, iasoit que lesd. maroniers en demusserent le plus qu'ils peurent, et d'artillerie et d'autres choses qu'ils leur eust esté depuis bon besoing. (BONTIER, LE VERRIER, Canarien G., c.1425 [1482], 14). |
| [2]
Conclusion, ilz ne peurent lever le siege pour certaines bastilles et fossez (LE BOUVIER, Chron. Ch. VII C.C.J., c.1451-1455, 39). |
| [3]
Ce soir firent les Franïois leurs approuchemens et se logerent le plus pres qu'ilz peurent du boulevart de ladicte ville (LE BOUVIER, Chron. Ch. VII C.C.J., c.1451-1455, 233). |
| [4]
L'union actuelle de l'ame a Dieu par hault chant de unison en la solitude ou est ravie l'ame quant Dieu parle a son cuer seul a seulet et ung a ung, mais en tenebres, se contient la plus parfaite sapience et congnoissance de Dieu que ne peurent oncques avoir les philosophes et saiges de ce monde; car elle se donne seulement par l'inspiracion et voix du Saint Esperit (* *, 138). |
| [5]
Pourquoy aucuns sains furent tant parfais et contemplatis ? ce fu pour ce qu'ilz estudierent de tous poins a mortefier eulz mesmes de tous terriens desirs, et pour ce peurent ilz vacquier francement a eulz mesmes et eulz aiherdre a Dieu par toutes les mouelles de leur cuer. (Internele consol. P., 1447, 293). |
| [6]
Au fort, il fu dit de main en main a ceulx qui a ceste premiere escarmuce devoient aler et ordonnerent la nuit de leurs affairez le mieulx et plus secretement qu'ilz peurent pour toutez adventurez (Comte Artois S., c.1453-1467, 30). |
| [7]
...si firent tout communement au mieulx et plus joyeusement qu'ilz le peurent faire en disant chansons, dis et loëngez de toutez manierez que tous se baignoient en joie et estoit comme sans fin (Comte Artois S., c.1453-1467, 87). |
| [8]
...le maistre de Saint Jaque et celuy de Calestrave, atout ce qu'ilz avoient de gens, se mirent au dos de leurs ennemis par ung costé ou mieulx peurent besongnier (Comte Artois S., c.1453-1467, 94). |
| [9]
Toute celle journee fust la duchesse moult troublee ; et fist tant mal samblant que le duc et tous ceulx de la court ne peurent d'elle avoir ung biau samblant ne une parolle consolative (Chast. Vergier S., c.1450-1480, 98). |
| [10]
Et pour ce qu'ilz voulloient congnoistre l'un l'autre, il est besoing qu'ilz s'entreassaient, mais a l'encontrer les deux chevaliers, quy sont preux et hardis, haulcent, frapent, deschargent et ruent a tournebras le plus radement qu'ilz peurent (Jehan d'Avennes F., c.1465-1468, 96). |
|
Attestation de 