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... [Messire Henry au duc de Bourgogne] (r)Mon tresredoubté seigneur, je voy que ceans on murmure sur ce volet que je porte a mon bras, et pense on que je le porte par emprinse contre aulcun de gens. Monsieur, je ne vous en ay pas demandé grace de la porter, de quoy je vous prie mercy se le mespris y est. Mes, Monsieur, ce n'est pas emprinse, mes l'ay en commandement de ma dame de le faire ainsy. Dont, se nul en vostre maison noble homme, com grant il soit, me veulle approuchier de riens et requerir de faire quelque chose, je suis celuy qui le parfurniray a son demand...» (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 136). |
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... [Messire Henry au duc de Bourgogne] (r)Mon tresredoubté seigneur, je voy que ceans on murmure sur ce volet que je porte a mon bras, et pense on que je le porte par emprinse contre aulcun de gens. Monsieur, je ne vous en ay pas demandé grace de la porter, de quoy je vous prie mercy se le mespris y est. Mes, Monsieur, ce n'est pas emprinse, mes l'ay en commandement de ma dame de le faire ainsy. Dont, se nul en vostre maison noble homme, com grant il soit, me veulle approuchier de riens et requerir de faire quelque chose, je suis celuy qui le parfurniray a son demand...» (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 137). |
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Et alors le duc, la tirant a part emprés un banquet ou [ou] il alla seoir, l'assist emprés ly, et la, entre aultres devises joieuses et de pluseurs manieres, lui va dire par son nom : (r)Madamoiselle, je n'ay pas appris que les damoiselles de Paris me soient venu veoir et visiter en mes pays de deça sans y avoir aultre plus grant affaire, je pense, que n'avez eu ; dont toutevoies je vous mercye, car m'avez fait honneur en mes vieulx jours, et m'en repute bien tenu...» (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 239). |
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...et si pense jeo de ceo bone seignur qi turnya tant pur nous et venquy le turnoy, et si dure luy estoit la journee qe ceo eust estee merveille s'il n'eust eu le nees grandement defolez et debrisez. (HENRI LANC., Seyntz medicines A., 1354, 138). |
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...et chascun jour une personne qui se donne a bien et pense a salut le puet appercevoir. (* *, 24). |
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Veulz tu jouer mistiquement de la buccine ou de la trompe, pense aux jugemens de Dieu (* *, 129). |
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...et encores ne pense il point a Dieu par clere vision, car il est en l'obscurité de foy, et en divines tenebres. (* *, 138). |
| [8]
L'omme considere les fais, mais Dieu pense les entencions. (Internele consol. P., 1447, 20). |
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L'en demande tout ce que l'omme a fait, mais l'en ne pense mie tant estudieusement de quelle vertu il a ce fait ou investigué. (Internele consol. P., 1447, 164). |
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Car il pense que je sui escrutinant les cuers et les rains et que je ne juge point selon la face et humaine apparence. (Internele consol. P., 1447, 204). |
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Attestation de 