C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de pence dans la Base des Partiels 

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[1] Et pour ce, sot, pence tu pas Que qui regne es cieulx la hault, Aist plus de biens que ne t'en fault? Metz en luy tout ton esperance, Actan toy a son ordonnance! Il scet mieulx qu'il te fault que toy. (Pouvre peuple H., c.1450-1492, 169).
[2] Hé! pence tu q'ung lanterneur Ou ung trompeur aye Honneur Pour user de sa tromperie? Nany! om l'a par bonne vie. (Pouvre peuple H., c.1450-1492, 216).
[3] ...Pluseurs Est de vous sy tresamoreux Que c'est une grande mervoille. Il en a la puce en l'oreille Tellement que ne pence a rien, Se n'est a vous. (...) [-] Il ne dort point ne ne repose, Il meurt sur le pied. (Pouvre peuple H., c.1450-1492, 219).
[4] Tout le monde craint sa fureur, Pource que c'est ung grant robeur, Ung destrueurs de povre gens. Om l'onnore par ses moyens. Pence qu'Onneur point ne l'encombre; Ce n'est seullement que son ombre. (Pouvre peuple H., c.1450-1492, 226).
[5] «...Trop remaint de ce que fol pence ! Vous n'estes que deux cuidereaux Et deux tresmeschans truandeaux.» (RENé D'ANJOU, Cuer am. espris W., 1457, 77).
[6] Cleriadus fut moult courroucié quant il s'en alla ainsi et encores plus de son espee que il en emporte si demeure ou champ, tout esbahy, et pence en lui mesmes se il suyvera le lion ou qu'il fera. (Cleriadus Z., c.1440-1444, 127).
[7] Ne vous esbayssez de riens, Que nous avons bonne deffence Des Tourelles, c'est mains que neant, Ne n'en ayez nulle desplaisance ; Mais faictes mectre a puissance Artillerie au bouloart Pour les batre, comme je pence, Incessamment et toust et tart. (Mist. Siège Orléans H., c.1480-1500, 178).
[8] Toute la fleur et excellance De France avez abatue, Que desormais, comme je pence, François ont leur force perdue. (Mist. Siège Orléans H., c.1480-1500, 347).
[9] Nous viens tu icy apporter Nouvelles en abusion () [abusion] ? Pence tu te venir froter Sans faire reparacion ? (Mist. Siège Orléans H., c.1480-1500, 417).
[10] Chier sire, ne vous en doubtez, Que François nous ne devons craindre ; S'i venent, y seront frotez, Que je ne pence pas me faindre. (Mist. Siège Orléans H., c.1480-1500, 535).

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