C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de payens dans la Base des Partiels 

71 attestations 
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[1] ...la division des crestiens est salvation des payens ; et eulx le dient publiquement, quant ilz sentent les nouvelles de Ponent par les nefs que arivent vers eulx. (Passage Terre Sainte Piloti D., 1441, 7).
[2] ...lequel [le Cayre] est Rome des payens, o- demeure le leur callifa qui est en lieu de leur pape, et semblablement les leurs scienciés et maistres de la leur foy bestielle de Mahommet. (Passage Terre Sainte Piloti D., 1441, 32).
[3] Sont les payens plus grandes en enfer que on ne saroit descripre ne estimer. (Déclar. Hyst. S., a.1449, 179).
[4] Tant fist d'armes cilz Urïens Que paiens, Turs et Surïens Lui fuient comme a l'esprevier L'aloe, le lievre ou levrier. Tous s'en fuyent vers leur navie, Et Urïens qui ot envie De destruire les Sarrazins Fiert sur eulx comme sur mastins. Par Guion et par Urïens Furent touz occis les payens. Urïens es trefs se loga, Et d'illecques ne se bouga, Que sur payens ont conquesté. (COUDRETTE, Mélus. R., c. 1400, 161).
[5] Tant fist d'armes cilz Urïens Que paiens, Turs et Surïens Lui fuient comme a l'esprevier L'aloe, le lievre ou levrier. Tous s'en fuyent vers leur navie, Et Urïens qui ot envie De destruire les Sarrazins Fiert sur eulx comme sur mastins. Par Guion et par Urïens Furent touz occis les payens. Urïens es trefs se loga, Et d'illecques ne se bouga, Que sur payens ont conquesté. (COUDRETTE, Mélus. R., c. 1400, 161).
[6] Maiz Anthoine vient et Regnault, Qui aux payens feront assault, Et dë Aussay li nobles roys; A Prague s'en viennent ces troys. Ces bacinés resplendissoyent Contre le soleil et luisoyent, Noble chose estoit a veïr. (COUDRETTE, Mélus. R., c. 1400, 187).
[7] ...sy s'entretindrent lez Crestiens sy serrez et en telle ordonnance que par leur force ilz recullerent lez payens (Comte Artois S., c.1453-1467, 74).
[8] ...lez payens, (...) ne cuidoient jamais venir assez a tempz pour lez detrenchier et mettre a mort ; anchois leur meneur, l'admiral de Grenade, desirant de vengier sa perte, tout le premier s'esmut et en courant de plains eslais disoit : «Apprez cez chetifz Crestiens, beaux seigneurs !» fait il, «Apprez ! Apprez ! Car ilz ne nous osent attendre et sy ne nous peuent eschapper se lascheté ne nous tient.» (Comte Artois S., c.1453-1467, 74).
[9] A cez moz poindirent payens apprez leur capitaine de sy grant radeur que ce sembloit tempeste qui courust sur la terre et noz gens devant qui bien sçavoient faire du desconfy (Comte Artois S., c.1453-1467, 74).
[10] Que payens furent esbahis quant sy soubtillement se trouverent advironnez et encloz dez Crestiens ! (Comte Artois S., c.1453-1467, 75).

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