| [1]
Item quant je fuy disné, je parti de Jherusalem et m'en alay en Bellem que est une cipté dissipee a X milles de Jherusalem, en le quelle cipté ha une grant eglize bien gente ; et la nesqui le filz de Dieu de le pucelle vierge Marie, auquel lieu a ung autel ou je ouy messe de la nativité et davant cest lieu est le greppe du buef et de le mulle ou Nostre Dame rescondit son chier enfant Jhesu Crist par doubte du roy Herodes (CAUMONT, Voy. N., p.1420, 36). |
| [2]
Item lendemeyn haulte eure je parti de Bellem et m'en alay vers la montaigne de Judee ou est la meson de Zacaries ha V milles, et a la main senestre a ung lieu que s'appelle Capharneum lequel estoit de centurion ou ce dit que fut fait l'encluge ou lez cloux de Nostre Seigneur furent fargés (CAUMONT, Voy. N., p.1420, 37). |
| [3]
...quant les Englois le sceurent et les officiers extresmes du parti des Englois (LE BOUVIER, Chron. Ch. VII C.C.J., c.1451-1455, 178). |
| [4]
...ou lesditz prinsonniers furent mys a finance et le boutin parti. (LE BOUVIER, Chron. Ch. VII C.C.J., c.1451-1455, 411). |
| [5]
disans que les dis fréres avoient gardé, nourry et gouverné, recellé et tenu a l'escolle (...) un enfant d'un homme tenant nostre parti contraire. (Chron. Mt-St-Mich. L., t.1, Pièces diverses, 1418-1432, 163). |
| [6]
Lesquelz compaignons (...) firent tant qu'iz ouvrirent par force l'uis des dictes prisons et se partirent d'icelles, et avec eulx se parti le dit suppliant.. Pour doubte de laquelle fraccion..., il s'est bouté en franchise (Chron. Mt-St-Mich. L., t.2, Pièces diverses, 1432-1463, 24). |
| [7]
En ceste ville assegee se trouva ung chevalier arthesien, (...), parti nouvellement de l'hostel du duc bourguignon, aprés ses guerres gantoises (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 77). |
| [8]
...lequel peuple tout se adheroit avec les commandemens du roy et destituoit arguamment cely [evesque] de Toul de toute sa force, comme la nature de cely peuple trait anciennement et de tout temps a celui parti. Et d'abondance, (...), [les ambassadeurs du roi] firent deffence a tous les chanoines que nul de eulz ne bougast ne vuidast la ville de Tournay jusques a l'election faitte, sur peine de cent mars d'or, et que de ce jour en avant en XVIII jours aprés ilz procedassent en leur election sans avoir plus de respit, sur aultres grandes peines appropriables au roy. (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 266). |
| [9]
Et ne furent point François tant seullement affectéz a la royne [d'Angleterre] ne a son parti pour la remettre en sa couronne perdue, mes partie aussi, et principalement, sur espoir de vaincre et humilier l'autre partie adverse, a qui on donnoit grace d'estre bourguignonne (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 277). |
| [10]
...la reyne [d'Angleterre] pour ce temps cy faisoit tout, et par elle et a son seul enhort et admonestement on combatoit la querelle de son mari, qui estoit simple, et elle seulle avoit esté moveresse de la plus part du broullis d'Angleterre alencontre de ceulx qui faveur portoient au parti de Bourgoingne. Et pourtant, comme nous sommes en la matere ou François queroient le duc de Bourgoingne deffaire par les Anglois et ledit de Bourgoingne a soy deffendre et garantir par les mesmes, je mes celle et celi en front qui sont causes et principes de la besongne : la reyne comme roy et femme, et le duc de Sombreset comme exsecuteur (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 292). |
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Attestation de 