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De ce champ dient les gens du paiz que N. S. passoit une foiz par l... si demanda ... ceulx qui l... semoient siches quelle chose c'estoit que ilz semoient (JEAN LE LONG, Voy. Bieul B., 1351, 266). |
| [2]
...tu es cil qui as le froit fait venir en ce paiz, quant tu l'as ainsi trahi par tes plices et tes draps oultrageux. (JEAN LE LONG, Voy. Bieul B., 1351, 279). |
| [3]
Li vrais Juges en celi jour Seoir au jugement venra ; Con fiers et crueux se tanra, Combien qu'il soit paiz et accorde, Et touz plains de misericorde, Si jugera il droitement (Jour Jug. R., c.1380-1400, 217). |
| [4]
Entre les politiques ordenances instituées par cellui sage roy Charles, affin que oubliance ne m'empesche à narrer en ceste partie ce qui est digne de memoire et singuliere louenge, Dieux! Quel triomphe! Quelle paiz! En quel ordre, en quel coagulence regulée en toutes choses estoit gouvernée la court de tres noble damme, la royne Jehanne de Bourbon, son espose, tant en estat magnificent, comme en honnestes manieres ruillées de vivre, si comme en ordennance de mengiers et assietes, en compagnie, en serviteurs, en habiz, atours et en tous paremens par notable et bel ordre menez cotidienement (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V S. I, 1404, 53). |
| [5]
Et cestui qui est franc par nature est ainsi devisé et ainsi ordené qu'il est habile a oportunité et de guerre et de paiz. (ORESME, Pol. Arist. M., c.1372-1374, 54). |
| [6]
Et furent en l'asemblée XXIIIJ. cardinalz, trois patriarches, de VIJ. à VIIJ. mitrez tant d'archevesques, evesques, abbez et d'autres clers comme theologiens, decretitrez et d'autres clers de l'universel paiz (COCHON, Chron. norm. B., c.1430, 141). |
| [7]
en verité quelque accort ne paiz qu'il face avec moy se je le puis jamaiz tenir a mon avantage je le feray mourir mauvaisement ainsi come il l'a gaingnie (Chron. Rich. II W., c.1400-1420, 49). |
| [8]
...nous et le dit seigneur, du conseil de proudes hommes, sur les débatz dessurs ditz, suymes venuz à paiz et à concorde (Cartul. Laval B., t.2, 1332-1412, 170). |
| [9]
Pour le salaire de 2 pinaces qui apporterent ledit monseigneur Loys et ses gens de Castre a Bermeo pour traitier aus bonnes gens du paiz afin qu'il venissent au service (Clos galées Rouen M.-C., t.2, 1335-1415, 29). |
| [10]
Et combien que pour vivre en paiz au déssoubz de ceulx qui faisoient la guerre, ilz donnassent et promeissent du leur très largement, en prenant d'yceulx ou de leurs capitaines saufconduits, lettres de garde ou seelleez d'apatifz, nientmains peu ou nient leur en estoit entretenu. (MONSTRELET, Chron. D.-A., t.5, c.1444-1453, 27). |
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Attestation de 