C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de paisibles dans la Base des Partiels 

8 attestations 
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[1] «...Aÿ, Charles de France, con tu deviens rados Assëurés m'aviés tout par devant les vos, Mais point n'avés esté paisibles ne devos...» (Huon Bordeaux B., c.1401-1450, 34).
[2] ...par la complainte des religieus, prieus ou doyen et convent de Lihons en Sancteres, disans eulz estre en saisine et possession souffissantes et paisibles d'avoir toute iustiche et seignerie seul et pour le tout en un certain lieu de la ville de Bappaumes (Hist. dr. munic. E., t.2, 1330-1498, 27).
[3] ...ycelles parties sont et demourront et demeurent quittés et paisibles l'un envers l'autre, sans en pooir jamais faire quelque poursieute par voie dirette ou oblique (Hist. dr. munic. E., t.3, 1330-1500, 55).
[4] ...nous les feissiens de ce tenir paisibles sans souffrir estre fait contre eulx ou leurs privileges aucunes nouvelletées (Trés. Reth. S.L., t.2, 1330-1415, 175).
[5] ...et de l... en avant fut monseigneur d'Austriche et ses gens paisibles et bien venuz en sa ville de Brucelles ; et y fit regner justice et la marchandise, dont il fut beaucoup mieulx aymé et bien voulu. (LA MARCHE, Mém. III, c.1470, 278).
[6] ...aussi tous prisonniers dès le temps de la prinse et reddicion de Blaye, seront et demourreront francs et quittes de leur rançon, et paisibles de leurs finances (CHART. J., Chron. Ch. VII, V., t.2, c.1437-1464, 274).
[7] Item, durant le temps que les besongnes dessusdictes se commencèrent fort à enfélonnier et animer entre les deux parties d'Angleterre et de Bourgongne, comme dit est, pour tant, fut advisé par ledit duc et aulcuns de ses plus féables conseillers, qu'il seroit bon de trouver manière secrète que ycelles deux parties ne feyssent point de guerre l'un contre l'autre, et que leurs gens, pays, amis et alyés, demourassent paisibles et comme neutre. (MONSTRELET, Chron. D.-A., t.5, c.1444-1453, 209).
[8] ...furent les Anglois debouttez et chassez par nostre dit feu seigneur et pere hors du royaulme de France, dont iceluy nostre pere demeura paisible, ainsy que raisonnablement faire se devoit ; et nous subsequemment en sommes demourez paisibles après luy. (Lettres Louis XI, V., t.9, 1481-1482, 318).

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