| [1]
...ilz pouent emporter plusieurs manieres de marchandises, comme cuyr, gresses, oursolle, qui vault biaucoup d'argent, qui sert ... tainture, dates, sancdragon, et plusieurs autres choses qui sont au pais. (BONTIER, LE VERRIER, Canarien G., c.1425 [1482], 56). |
| [2]
...Portugal et Espaigne et Arragon les fournyroient, pour leur argent, de toutez vitailles, et de nauires plus que nul autre pais, et aussi de pillos qui sauent les pors et les contrées. (BONTIER, LE VERRIER, Canarien G., c.1425 [1482], 83). |
| [3]
...pour veoir s'il pourra trouuer aucun bon port et lieu qui se peult fortiffier et estre tenable quant temps et lieu sera, pour auoir l'entrée du pais, et pour le mestre en treu, s'il chiet appoint. (BONTIER, LE VERRIER, Canarien G., c.1425 [1482], 86). |
| [4]
...auons si endroit mis aucunes choses, touchans ses marches, extraites d'un liure que fit vng frere mandeant, qui auironna iceluy pais (BONTIER, LE VERRIER, Canarien G., c.1425 [1482], 87). |
| [5]
Ce vint dedens huit iours apprès que monsgr de Bethencourt eut arruné ces gens et ces besongnez, led. Bethencourt et Gadiffer se partirent des pais des Canares, et s'en alerent en Espagne (BONTIER, LE VERRIER, Canarien G., c.1425 [1482], 113). |
| [6]
Le pais est fort et bien peuplé de gens, car il n'a mye esté ainssi foulé comme les autres pais ont esté. (BONTIER, LE VERRIER, Canarien G., c.1425 [1482], 118). |
| [7]
Le pais est fort et bien peuplé de gens, car il n'a mye esté ainssi foulé comme les autres pais ont esté. (BONTIER, LE VERRIER, Canarien G., c.1425 [1482], 118). |
| [8]
Monsgr de Bethencourt, et Gadiffer, et plusieurs autres de sa compagnie y ont esté, tout en effet pour veoir leur maniere et leur gouuernement, et pour aduiser les dessendues et les entréez du pais qui sont bonnes et sans danger, mais que on y tiengne ordonnance, et assonde et mesure. (BONTIER, LE VERRIER, Canarien G., c.1425 [1482], 129). |
| [9]
Mais quelque chose que on dist aud. Bethencourt, il dicimuloit tousiours pour cause qu'il auoit ayde d'eulx, et aussi qu'il estoit en estrange pais, et ne vouloit point que on leur fit nul desplaisir, si non en raison. (BONTIER, LE VERRIER, Canarien G., c.1425 [1482], 143). |
| [10]
Adonc il leur dit que le plus tost qu'il pourroit il retourneroit en Canare, et leur dist son intencion et qu'il emmeroit le plus des gens du pais de Normendie qu'il pourroit, et que son intencion estoit qu'il conquerroit, s'il pouoit, la grant Canare, au mains il lui bailleroit vne touche. (BONTIER, LE VERRIER, Canarien G., c.1425 [1482], 158). |
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Attestation de 