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les ambassadeurs d'Orient] Ne demandoient ne argent ne autre chose, fors seullement attente a leur priere. Mesmes se disoient furnis de tout et leurs maistres estre puissans et non indigens de riens. Non obstant ce, le duc par hault magnifique corrage ne leur souffroit despendre ung denier, mes paioit tout et furnissoit leurs despens, et les accrut par trois double sur leur ordinaire. Fit faire joustes moult cousteuses a leur venue, banqués et semonce des dames de la ville, la ou il entrefirent et furent assis et servis a table a par eulx en treshaulte magnificence (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 290). |
| [2]
Ainsi s'acointa Paris de ceulx qui gardoient le dauphin. Et tousjours venoient en l'ostel de Paris, et Paris alloit pareillement en leur hostel et tosjours mangoient et bevoyent ensemble. Mes tosjours Paris paioit l'escot. (LA CEPEDE, Paris Vienne K., 1432, 260). |
| [3]
...aux quelles paroles feust survenu le dit prieur, qui entreprint les dictes paroles, disant à icelui exposant qu'il paioit mauvaisement sa disme et qu'il estoit excommenié comme un chien. (Doc. Poitou G., t.6, 1390-1403, 363). |
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Par Capharnaum quant passoit Une foiz la où en paioit Travers, pas ne vout estre exent, Quë en rien ne fussent la gent Escandalisiés (GUILL. DIGULL., Pèler. J.-C. S., 1358, 212). |
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Attestation de 