C.N.R.S.
 
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 Attestation de oyt dans la Base des Partiels 

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[1] Et de ceu chemin voyt l'en en le mer le montaigne de Volquam en le quelle ha ung grant partus que nuyt et jour geta grant fumee et auqune foix grant flame et tira grandes pierres de dehors et de pres celluy partus oyt l'en mener grant bruyt liens, si que l'on tient que c'est une dez boques d'enfer (CAUMONT, Voy. N., p.1420, 63).
[2] Le Roy fut fort effroié et troublé quant il oyt ceste chose ; la Royne le rappaisa. (LE BOUVIER, Chron. Ch. VII C.C.J., c.1451-1455, 157).
[3] Quant madame Dyaine oyt ce, elle fust toute espaventee, quar elle vist sa fille, que molt amoit, toute descoloree. Cy prist ladicte Vienne sur les girons, et toutes les aultres dames vindrent la. Si luy frotterent les mains et le front, et quant elle eust recovert vertu, elle dist a sa mere, que s'il luy plaisoit, elle voldroit ung peu reposer sur le lit de Paris. (LA CEPEDE, Paris Vienne K., 1432, 127).
[4] Si advint ung jour que il oyt dire a son hoste que une nave devoit partir [de Genes] pour venir a Aigues Mortes. (LA CEPEDE, Paris Vienne K., 1432, 199).
[5] Et quant il se peult relever, il eust touz les yeulx plains de lermes de la grant joye qu'il heust, quant il oyt que Vienne estoit garentee de mort. (LA CEPEDE, Paris Vienne K., 1432, 202).
[6] Et quant Paris oyt ramentevoir le nom de sa dame, celle qui le tient en destresse, il gecta ung grant souspir de cuer parfont. Et incontinent les lermes luy vindrent aux yeulx, mes il fist semblant de soy moucher et se torcha les yeulx, affin que les freres ne s'en apparceussent. (LA CEPEDE, Paris Vienne K., 1432, 257).
[7] Oncques depuis n'oyt accord Qui consonnast a melodie, Et quant mon âme fut partie Du corps par la mort qui tout prent, Grans et petis incontinent, Je fus en infer trebuchié Ou j'ay moult durement couchié Par l'espasse de cinq mil ans. (MARCADé, Myst. Pass. Arras R., a.1440, 235).
[8] ...elle est ostee quant on ne oyt riens sicomme en surdesse (GORDON, Prat., c.1451-1500, III,8).
[9] En Damas oyt ont nostre gent despaisier. (God. Bouillon R.B., t.3, c.1356, 301).
[10] Le conte Amiles n'y peust oncques entrer, Mais bien oyt la nouvelle conter De ces enfans que Dieu volt suxciter. Bien les a fais vestir et atinter. (Ami Amile M., c.1401-1500, 538).

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