C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de ons dans la Base des Partiels 

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[1] Or les at pechie aueulleis, Se sont sor l'heur de tresbuchier En ce ort, puant le touuiert D'infier, qui tant est perilleux; Et si vos n'y esteis conuoiteux De perde, vus n'aueis qu'esteir D'ieaux por vos grace rasenseir Et de metre ens ou droit sentire; Celuy qui ne se puit aydier, Doit ons aidier, ce m'est auis. (Sept péchés C., c.1300-1350 [p.1478], 223).
[2] Ons doit à sa carnalité Y estre amistable et debonnaire. (Sept péchés C., c.1300-1350 [p.1478], 223).
[3] I'aie ai]e[ tout ce que qu[e] ons puit souhaidier Et si ne puis ascassier Mon cuer, qu'il ne veulh auoir plus. (Sept péchés C., c.1300-1350 [p.1478], 236).
[4] Ilh me souient de grant defroy Qui Q[ui] ons voit en ce monde courir. Foy, ie n'oseroie oseroi[e] plus venir Sur les champ myneir mes berbis, Por les leu (All. foi C., c.1350-1400 [p.1478], 254).
[5] Quant I cheuals n'at point de renne, Ons ne le sceit por où tenir. (All. foi C., c.1350-1400 [p.1478], 254).
[6] Ons ne s'en doit point ameruelhier (All. foi C., c.1350-1400 [p.1478], 255).
[7] Et vechy des nois qui q[ui] ons m'at mis Et une piece de gowier, Qui demora hire à soppeir. (All. foi C., c.1350-1400 [p.1478], 256).
[8] Mais pour honnorer le bon sire Aprés sa mort, com nous devons, Puis qu'en vie ne le trouvons, Lÿons nous de communs accord D'aler oindre son digne corps Au sepulcrë ou il est mis. (Myst. Pass. Troyes B., a.1482, 781).
[9] Car, se le Pape donne lez benefices a ceulx qui ne sont pas dignes, ou se il depose ceulx qui sont dignes ; se lez dignitez ou aultres benefices de diversez dyoceses, sanz juste cause, il reserve a sa collacion et ordenance ; se il casse lez elections elect[i]ons justement et saintement faites (Songe verg. S., t.1, 1378, 100).
[10] Et cy nous devons savoir que aprés ce Droit naturel survindrent aucunes loys lezquellez approverent aucunes conjunctions conjunct[i]ons d'onmes et de fames, conme sont lez conjunctions conjunct[i]ons lezquellez se font par mariage, et lez enfens nez de teulx mariages sont vrays hers et legitimes, lege Filium, Digestis, De hiis qui sunt sui vel alieni juris, et reprouverent aucunes conjunctions come sont celles qui sont adulterines ou incestueuses. Car lez enfens nez de telles conjunctions ne sont mie legitimes, ne ne devent estre enffens reputés (Songe verg. S., t.2, 1378, 213).

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