C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de noz dans la Base des Partiels 

1166 attestations 
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[1] Ainsi noz deux gallées en compagnie, alasmes ... une ville qui est ausdictz Venissiens et s'appelle ..., et de l..., ... une autre nommée Polle qui, ... mon samblant, a esté jadis une moult belle ville (LA BROQUIèRE, Voy. Outr. S., c.1455-1457, 7).
[2] ...je fu pris et mené devant l'un des cadis qu'ilz tiennent comme nous faisons noz evesques et ont l'administration de la justice. (LA BROQUIèRE, Voy. Outr. S., c.1455-1457, 67).
[3] ...mais que nous gardissions bien d'aucune chose bailler a noz moncres ou asniers qui nous bailloient les asnes, que on avoit appoincté a eulx pour toutes courtoysies a quarante et troys medins pour teste (Pèler. D., 1486, 333).
[4] ...certains petiz Mores qui nous apportoient de l'eau, a demy medin le seilleva, qui vault bien dix deniers ; noz truchemans les garderent de plus en apporter affin de l'avoir par leurs mains, et la nous vendirent ung medin, qui vault vingt deniers. (Pèler. D., 1486, 394).
[5] ...entre lesquelles y a tant de chemins que noz arabes ne congneurent la voye et nous esquarterent. (Pèler. D., 1486, 406).
[6] ...et nous conclusmes de servir Dieu ceste peneuze sepmaine, et curer nostre consience, y faire noz Pasques, et recevoir nostre créateur. (LENGHERAND, Voy. G., 1486-1487, 41).
[7] En icelle église demourâmes toutte nuyt enclos, faisant noz voyages cha et la. (LENGHERAND, Voy. G., 1486-1487, 134).
[8] ...en la compaignie d'un calogier parlant ytalien et d'un Arrabe allâmes pour faire noz voyages au mont de Sinay. (LENGHERAND, Voy. G., 1486-1487, 161).
[9] Et au retour de l'armée, fut nostre nef périe vers Saint-Malo en Bretaigne, noz vallés, bagues, harnois, noiez et péris, et les gentilzhommes, par la grâce de Dieu, sauvez en deux botequins estans dedans nostre ditte nef. (LANNOY, Voy. amb. P.H., p.1450, 10).
[10] Mais il n'est mie encore venus ; pour quoy nous supplions ... votre sainteté que vous nous vueilliez envoier un bon souffisant et saige légat, qui noz ames ait en cure (JEAN LE LONG, Lettres Khan Benoît XII, B., 1351, 348).

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