C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de novelles dans la Base des Partiels 

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[1] Novelles s'espardoient par le pays du cas, et disoient les ungs et les aultres que le duc estoit mort a Tournay. (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 147).
[2] Or couroient novelles par tout que le daulphin, filz du roy de France, s'en alloit pelerin aux pardons d'Ays. (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 296).
[3] Mon seigneur vous manréz la trouche, Je veul dansier pour ces novelles, Hay, hay, hay qu'elles sont belles ! Cornéz, cornéz, venéz danser. (Pass. Semur D.M., c.1420 [1488], 21).
[4] Il me fault aler sans demeur Parler tout droit a l'ampereur, Pour luy dire aucunes novelles Que ne sont trop bonnes ne belles (Myst. st Adr. P., c.1450-1485, 30).
[5] ...et veons que encore, de jour en jour, il faut faire novelles loys et constitucions, et si ne souffisent pas pour enpecher et refrener la mauvese volanté humaine, conme il est escript ou Proheme dez Decretales. (Songe verg. S., t.1, 1378, 210).
[6] Et si devons aussi savoir que, se le Roy est assez riches et puissant de tresor et de sez revenues ordinaires pour son païs garder et deffendre, il ne doit demander aucunes aides novelles de sez subjés (Songe verg. S., t.1, 1378, 232).
[7] Le quart ruysiau de la fontaine, c'est Poetherrye, laquelle faint plusieurs choses novelles et merveilleuses et plaines de grant moralité. (Songe verg. S., t.1, 1378, 334).
[8] et le bastard, quant il avoit oy novelles de ceste emprise, voilloit avoir emcombrez les Englois et fist trencher lour chemyns q'ils ne deussent avoir passez vers le Prince. (HERAUT CHANDOS, Vie Prince Noir T., c.1385, 102).
[9] Coment la femme du bastard estoit a Burghes; et quant elle avoit oy lez novelles elle s'en fui moult dolent en Aragoun, et fist ses grantz et dolorouses compleintz de la fortune, et aprés ce comenda le Prince moult noblement; et le Prince se vient logier a Bernesqes. (HERAUT CHANDOS, Vie Prince Noir T., c.1385, 146).
[10] Item un mandement à Jehan Bourne receveur du fait de la cloison d'Angiers, pour paier à Jehan de Vauberon eschançon du Roy, la somme de XXX frans qui lui furent promis quant il porta les novelles de la nativité du Dalphin (LE FEVRE, Journ. M., c.1380-1390, 519).

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