| [1]
...ne arque ni table ne riens que liens fusse ne povoit se tenir en son lieu, ains alloye per la nef a través de la gent tant se tourmentoyt la nef, et chescune foix nous penssions qu'elle versse par l'un bort ou pour l'autre. (CAUMONT, Voy. N., p.1420, 58). |
| [2]
Ceste gent, dont ie vous parle, il ne courtillent ni ne labourent point en terre (MANDEVILLE, Voy. L., p.1360, 263). |
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...ni pour aultre chose n'est joyeux ou desireux, ou en ce mortel pelerinage paoureux ou doloreux, quant se sent loingtain de Dieu et de sa gloire. (* *, 126). |
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Suis je donc devenu ane? Je en porte bien les ensenhes: Je ay la cue et les aurelhes, Ne plus ni meyns, come ung ase! (Fol. Mari A., a.1470, 510). |
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BRUYT. Il nous fault de l'aglux avoir, Et nous serons pres maintenant. PLAISANT FOLLIE. Mais gardés qu'i soit bien tenant. CUIDER. Si bien tenant que s'il y frappe Verdier ni aultre oyseau de trappe, Hardiement que partir n'en peut. BRUYT. Dis tu? CUIDER. Demandés vous s'il pleust? Si vient Verdier ni Roge Gorge Dictes hardiement que ne se bouge. (Pipée R., c.1470-1480, 181). |
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BRUYT. Il nous fault de l'aglux avoir, Et nous serons pres maintenant. PLAISANT FOLLIE. Mais gardés qu'i soit bien tenant. CUIDER. Si bien tenant que s'il y frappe Verdier ni aultre oyseau de trappe, Hardiement que partir n'en peut. BRUYT. Dis tu? CUIDER. Demandés vous s'il pleust? Si vient Verdier ni Roge Gorge Dictes hardiement que ne se bouge. (Pipée R., c.1470-1480, 181). |
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Si je vous trouve, Roge Gorge ni maistre Verdier, Je vous aray! (Pipée R., c.1470-1480, 184). |
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Or cza, que le deable y ait part! Comment j'ay esté repoussé! Harou, que je suys pres houssé! Quant je reguarde ma jacquete, Il n'y a plume ni plumete; Je suys plus net qu'un parisi! (...) je suys doussé de beaux tours. (Pipée R., c.1470-1480, 198). |
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Je te donne Plaisant Follie A femme pour toute ta vie Et veulx que soiez mariez Et que jamais ne vous deliez Par quelque rancune ni discorde. (...) Tenés luy loyalle brigade Et la gardés, saine et malade, Sans jamais rompre ceste corde. (Pipée R., c.1470-1480, 216). |
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...quand un noble homme venoit en eage compétent de porter armes, jamais ne cessoit, non doutant péril de corps, peines, ni travaux que advenir luy pust, qu'il n'allast enquérant les hauts faits d'armes et les beaux voyages d'outre-mer et autre part (Faits Lalaing K., c.1470, 2). |
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Attestation de 