C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de missire dans la Base des Partiels 

27 attestations 
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[1] Et quant ilz vindrent en ung chemin fourché, Charles leur dist : "Or sa, mes compaignons, que voulez vous faire ? Chevaucherons nous ensemble ou touz soulz ?" Missire Lamer luy dist : "Monseigneur, il me semble que c'est le meilleur que en chemin fourché nous nous departons l'un de l'autre, et que chacun se quiere son adventure." (Charles de Hongrie C., c.1495-1498, 21).
[2] Missire Lamer mercya le chevalier et luy dist que, pour ceste heure, il luy pardonnast s'il n'y alloit, et qu'il avoit entreprins ung affaire qu'il falloit qu'il assenast. (Charles de Hongrie C., c.1495-1498, 24).
[3] ...en chevauchant, il comanssa ung pou a deviser a la pucelle et lui demanda s'elle estoit point mariee. Et elle luy dist que nennil. "Et ma doulce damoyselle, dist il, vous en estes plus aise, car ce n'est que paine de soi mariager ! Mais or me dictes, par voustre foy, avez vous point d'amy ne de serviteur retenu ? - Certes, sire, dist elle, nennil ! Car aujourd'huy on doit bien regarder comme on se fie en homme, car ilz sont touz faulx !" Et missire Boussigault respond : "Ma damoiselle, il n'est pas mestier que touz s'entresemblent..." (Charles de Hongrie C., c.1495-1498, 31).
[4] Mais avant que missire Boussigault partist hors de la chambre, Cherrye si n'oblia pas a venir devers luy, et puis luy dist ainsi : "Mon amy et mon serviteur, voyez cy une plaisance que j'ay fete, laquelle je vous donne par le plus grant amour que je dounné oncques don. Et vous prie que pour l'amour de moy la portez sur voustre heaulme." (Charles de Hongrie C., c.1495-1498, 32).
[5] ...et quant il fut finé et que la royne eut mathé missire Charles, car il se faignoit en son jeu, ilz se leverent. (Charles de Hongrie C., c.1495-1498, 42).
[6] Et quant missire Lamer vit son point qu'il peut parler a la royne, il luy dist : "Madame, missire Charles se recommande a vous mille foyz ; voicy une verge, laquelle il vous envoye, et vous prie qu'il ne vous ennuye point de sa demeure." La royne print la verge bien piteusement, mais le moins de semblant qu'elle en povoit faire a missire Lamer elle faisoit, de peur d'apercevance (Charles de Hongrie C., c.1495-1498, 130).
[7] Et quant missire Lamer vit son point qu'il peut parler a la royne, il luy dist : "Madame, missire Charles se recommande a vous mille foyz ; voicy une verge, laquelle il vous envoye, et vous prie qu'il ne vous ennuye point de sa demeure." La royne print la verge bien piteusement, mais le moins de semblant qu'elle en povoit faire a missire Lamer elle faisoit, de peur d'apercevance (Charles de Hongrie C., c.1495-1498, 130).
[8] Et quant missire Lamer vit son point qu'il peut parler a la royne, il luy dist : "Madame, missire Charles se recommande a vous mille foyz ; voicy une verge, laquelle il vous envoye, et vous prie qu'il ne vous ennuye point de sa demeure." La royne print la verge bien piteusement, mais le moins de semblant qu'elle en povoit faire a missire Lamer elle faisoit, de peur d'apercevance (Charles de Hongrie C., c.1495-1498, 130).
[9] Le roy s'assist et la royne, les chevaliers et dames, les ungs parmy les autres. Les cousins de missire Charles furent assis. Le roy et la royne les festiverent moult grandement, et dura le soupper grandement. (Charles de Hongrie C., c.1495-1498, 130).
[10] Missire Charles, voyant la courtoisie du chevalier, l'en mercya de tres bon cueur, tant que les larmes luy en viennent aux yeulx pour ce qu'il a pour qu'il ne luy puisse guerdonner sa courtoisie ; si luy dist : "Monseigneur de ceans," aprés qu'il eut mercyé, "je voy tant de prodomise en vous que je sache chevalier, fors ung, a qui j'eusse plus de fiance qu'a vous n'ay..." (Charles de Hongrie C., c.1495-1498, 131).

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