| [1]
Le Meliolech, c'est a dire le potestas de la ville, veu ce second miracle. (JEAN LE LONG, Voy. Odoric C., 1351, 77). |
| [2]
...car il ont de luille doliue assez pour ardoir et pour mangier, et si en ont aussi par miracle de Dieu. (MANDEVILLE, Voy. L., p.1360, 260). |
| [3]
...droit cy ont ouvré labeur et vertu de corps, diligence et aguet d'engin, force d'omme et proesse de cuer avecques sens, lesquelles toutes choses ensemble gisans en humain exploit, sans tempter Dieu, ont donné a ce roy victoire sans miracle, mes par nature. (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 317). |
| [4]
...et tantost, par le divin miracle, en la dicte nuee et de la dicte nuee sont fourmés et apperent grant pleute d'angeles qui tienent de toutes pars une trop belle et trop riche chayere, fourmee en l'air, comme dit est (MéZIèRES, Vertu sacr. mar. G.-K., c.1384-1389, 62). |
| [5]
...il mandoit ses gens et familiers qui le servoyent, vrays crestiens et bons catholiques, a veoir le dit miracle, lesquelz par leur bonne foy rapportayent au roy de point en point toutes les choses susdictes. (MéZIèRES, Vertu sacr. mar. G.-K., c.1384-1389, 64). |
| [6]
Encores dit le roy, en confirmant la belle vision, que quiconques vaudra aler par dela, le roy li baillera ses livres adreçans a certains marchans crestiens preudommes, ses amis, qui demeurent au Caire, lesquelx clerement enfourmeront ceulx qui yront par de la et monsteront de fait le biau miracle et la merveilleuse vision, mais que ce soit en la saison et au jour de la dicte solempnité. (MéZIèRES, Vertu sacr. mar. G.-K., c.1384-1389, 65). |
| [7]
Et le povre custode, indigne d'estre nommé, devot tel ou quel et inutil de sa tresdoulce esperance, l'avocate des pecheurs (...) a mis en escript cestui biau miracle (MéZIèRES, Vertu sacr. mar. G.-K., c.1384-1389, 65). |
| [8]
...elle appartient as bons theologiens bien instruis en la sainte escripture, non pas as simples gens se n'estoit par inspiration et miracle especial (* *, 18). |
| [9]
Je te dys bien, cuer mondain, que c'est voirement miracle et grace pure de Dieu, chanter et entendre et escouter ce chant dedens son cuer, par la maniere que les cuers piteux, devotz et religieux en usent, et le congnoissent dedens eulz en mervilleux silence, en paix et en racoy de conscience (* *, 114). |
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J'estoie entré ou corps d'ung homme Quil faisoit des maulx tresgrant somme ; Jhesu m'en osta par miracle, Par la vertu de son sinacle. Je ne poux contre ly guauchir Qu'il ne me convenist fleschir. (Pass. Semur D.M., c.1420 [1488], 150). |
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Attestation de 