C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de mieulz dans la Base des Partiels 

28 attestations 
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[1] ...j'aymeroie mieulz estre en paix et en repos (...) que ainsy fluctuer en doubte. (Traité S. Sacr. B., c.1451-1500, 147).
[2] ...quant je considere la haulteur et dignité de ce saint sacrement et la froidure, indisposition et indignité de moy, je juge que mieulz vault soy humblement abstenir que presumtueusement soy ingerer. (Traité S. Sacr. B., c.1451-1500, 148).
[3] Tu me auroies tantost conclud se seulement en ce sacrement ou mieulz cy que aultre part on puisoit ceste devotion et douceur. (Traité S. Sacr. B., c.1451-1500, 149).
[4] ...mieulz vault possesser l'arbre et le fruit ensamble que l'arbre seulement. (Traité S. Sacr. B., c.1451-1500, 149).
[5] ...tu scez toy meismes et tu congnois assez mieulz que moy quantes foiz nous sommes approuchiez de ceste fontaine labourans en affection, mais toutesfois riens n'en reportions sinon ung cuer tout froit et triste. (Traité S. Sacr. B., c.1451-1500, 150).
[6] ...une ayde et confort a plus facilement porter et souffrir les tribulations et adversitez de ce monde et pour mieulz contempner les vanitez et delectations de ce siecle (Traité S. Sacr. B., c.1451-1500, 161).
[7] ...telz benefices quy enclinent et incitent a recepvoir ce sacrement sont meilleurs et valent mieulz que les causes quy en seulent retraire, comme cremeur de conscience, indignité de vie, ignorance du bon plaisir de Dieu, pusillanimité et aultres teles causes. (Traité S. Sacr. B., c.1451-1500, 166).
[8] En temptacions et tribulacions l'omme est esprouvé de combien il prouffite, et la a il plus grant merite et tant mieulz appert sa vertu. (Internele consol. P., 1447, 303).
[9] Et s'il est delaié, croies [l. croire (?)] que nous sommes mains bien preparés et indignes encore de tant de glore qui sera revelee en nous en temps prefini, et estudions tant mieulz a nous preparer a nostre yssue. (Internele consol. P., 1447, 322).
[10] «Compains, point ne m'as abatu : Si je suys cheu, aussi es tu. Or fault qu'ensemble combatons Et quë ung petit nous tastons Qui mieulz d'espëe frappera Et qui mieulx s'en eschappera...» (RENé D'ANJOU, Cuer am. espris W., 1457, 62).

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