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Cilz es bien folz qui mest sa cure A eymer sy parfaittement Qu'en la fin de lui on n'a cure, Ains est debouté rudement. Pour moy le dis je proprement, Jamais a ce ne m'enva˙s De plus sermonner nullement, Car pour eymer je suis ha˙s. (Jeu quatre pers. L., 15e s., 194). |
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