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Dame, de tous bien plantiueuse, Mere de Dieu, douche amoreuse, Plaine de grasce, à vos, machinne, Me permeth et, douche, tout encline, Car ie saie sai[e], bien certainnement, Que l'escriture point ne ment, Car bien dist, qui de vos s'atost, Vostre grasce de pechie l'ost. (Sept péchés C., c.1300-1350 [p.1478], 232). |
| [2]
Entendeis vus que localment, Virtualement Virtual[e]ment ou aultrement Ens lieu qu'aueis dit et enclouse? (Péler. vie hum. C., c.1480-1500, 283). |
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De la langue que puis-je dire? Souvent tance par mauvaise ire, Maudit, jure, ment et renye Et tout remplist de genglerie; Moustier, escole et tout empesche Qui sagement ne s'en despesche; Promesse fait et puis de veu Compte n'en tient ne que d'un neu (Coeur sens M., a.1433, 83). |
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Cy parle de l'atouchement. Mais ce souillart Atouchement Tel est que de lui bouche ment A la fois pour honte et paour Que il prent de sa puantour. Toutesfois fault, comment qu'il aille, Que tous ses faits a prestre baille, Se fait a par abusion D'autre ou de soy pollucion (Coeur sens M., a.1433, 84). |
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Escutez comme elle ment! Elle ne craint point son serment; Ne lui chault comme y en voyse; Ne a plusieurs qui sont cy autour, Qui flairent voulonttiir ce tour, J'en direyes bien, sans mensonger. (Janot Jan. A., c.1450-1500, 151). |
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Par mon sermement ser[me]ment, Je ne fis huy que tourner l'aste. Tel la vyre qui ja n'en taste. (Lord. Tart Ab. L., c.1450-1465, 162). |
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Sire Tallebot, y dit voir, Faire n'en fault tel marrement. Guerre est pour perdre ou avoir, C'est l'eur qui ne fault ne ne ment. (Mist. Siège Orléans H., c.1480-1500, 571). |
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Or sai ge bien, en bonne foy, Vous n'estes pas grosse de moy, Quil, pour celluy Dieu quil ne ment, Je n'oux oncques le hardiement J'ossasse vostre corps samtir. (Pass. Semur D.M., c.1420 [1488], 58). |
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Mes seurs, trestout le cueur me ment Quant me souvient souv[i]ent de la detresse. (Pass. Semur D.M., c.1420 [1488], 249). |
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...chascuns selond sa desserte Sera jugiez au jugement Par le doux fils Dieu qui ne ment, Qui les mors resuscitera Et de corps et d'ame fera Par vraye resurreccïon Une insoperable vision. (Jour Jug. R., c.1380-1400, 216). |
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Attestation de 