| [1]
En ceste meismes contree [contree] vi je en la Grant Mer une maniere de poisson a eschalle faite comme .I. lymaçon, qui estoit bien greigneur de tour que le cerne du portal de l'Eglise saint Anthoine de Pade (VIGNAY, Merv. Terre Outr. T., c.1331-1333, 41). |
| [2]
Et si a vn vaissel de pierre aussi comme de marbre, la quelle pierre on appelle enydros, qui tousiours degoute eaue et se remplissent de eulx meismes tous les ans, tant quil vont hors par desseure, senz ce con mecte riens dedenz. (MANDEVILLE, Voy. L., p.1360, 236). |
| [3]
...la grant espee de parement du Roy, dont le pommeau et la croix estoient d'or, la seinture et la guayne d'icelle couvertes de veloux asur semé de fleurs de lis d'or, la boucle et le mordent et la bouterolle de meismes. (LE BOUVIER, Chron. Ch. VII C.C.J., c.1451-1455, 324). |
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Et dist celuy de Dunois que le roy incontinent luy [audit de Clugny] envoya l'evesque de Constance pour luy tout communiquier, et qu'on auroit honneste responce, disant aussy que de lui meismes ladicte proposition luy sambloit bonne et bien humble, au surplus que devant le conte du Maine et luy ledit de Clugny deist sa creance en faisant narration de toutes les choses communiquees aveuc les deputéz. (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 55). |
| [5]
Le chancelier de France aux ambassadeurs du duc de Bourgogne] Et quand il [le daulphin] eust eu desir de faire ledit voyage [de Turquie], il deust prealablement avoir prins peine de soy reduire au roy et luy obeÿr (...) ; et aprés luy eust peu dire et remonstrer l'affection qu'il avoit oudit voyage, pour savoir sur ce le bon plaisir du roy, sans l'auctorité et conscentement duquel ne peut ne ne doit faire telles entreprinses, et meismes en si grandes matieres. (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 66). |
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... [Le chancelier de France aux ambassadeurs du duc de Bourgogne] pour obvier aux inconveniens qui par l'ennortement de ceulx qui ont ainsi conseillié mondit seigneur [le daulphin], feussent peu venir - lesquelz, puis qu'ilz ont ainsi aventuré sa personne par voyes perileuses et dangereuses, ainsi que vous meismes, messieurs les ambassaeurs, avez dit et proposé, estoit a doubter que, par le moyen dudit pays [le daulphin] et des places et fortresses d'iceluy, ilz eussent peu faire et entreprendre des choses au desplaisir du roy et prejudice de mondit seigneur et du pays -, le roy a esté conseillié de soy transporter oudit pays, et y donner provision et le mettre en sceurté et maniere que aulcun inconvenient n'en ensieve. (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 67). |
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Le roi de France aux ambassadeurs du duc de Bourgogne] Meismes [le daulphin] a norry ceulx du Daulphiné en cest erreur bien par l'espace de X ans, jusques a ce que venu suis ou pays et leur ay monstré et dit mon affection et qu'onques je n'eulx malvaise intention contre ly (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 71). |
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... [Le roi de France aux ambassadeurs du duc de Bourgogne] j'ay esté patient en ceste matiere et fait ce que luy meismes [beau frere de Bourgoigne] par aventure n'eust pas fait s'il eust eu le cas pareil entre mains de beaufilz de Charolois. (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 71). |
| [9]
Lors furent lesdis ambassaeurs menéz a cop par le conte du Maine, Dunois, marissal et ammiral en l'hostel dudit conte du Maine, et la disnant furent haultement festiéz et receus et conjoÿs de toutes bonnes et amies chieres en samblant de dehors. Dont aprés disner, et aprés maintes et longues devisez ensemble, furent ramenéz ariere a la court du roy en la meismes salle du matin (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 74). |
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Mes Portingalois, qui sont dures gens et aigres a la mort, et vaillans soubz la valeur et vertu du bon conte leur capitaine, s'i [au siege de Ceuta par les Barbares] porterent tellement que l'honneur et la victoire et le pardurement en demourerent pour eulx, et en tuerent meismes grant multitude. (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 77). |
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Attestation de 