C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de mandez dans la Base des Partiels 

25 attestations 
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[1] Li quens de Forest fust mandé, Car ly contes l'ot commandé; Et les barons semblablement Qui tenoyent leur tenement Du noble conte de Poittiers Furent mandez, qui volentiers Vindrent trestous a la journee Que le conte avoit commandee. (COUDRETTE, Mélus. R., c. 1400, 113).
[2] ... [Le roy de Castille] convoqua le conte d'Artois, son connestable, l'amiral de Castille, le grant maistre de Saint Jacquez, le conte de Castrez, celuy de Bonevent et aulcuns aultrez dignez de son secret sçavoir, lesquelz, tous en ung pretoire ou consistoire assemblez, il parla en telle maniere : «Beaulx seigneurs, loiaulx chevaliers de Dieu, pour le bien de vous premierement vous ay ycy mandez et pour la deffension de cestuy roialme, auquel estez droit tenus...» (Comte Artois S., c.1453-1467, 68).
[3] Messeigneurs, vous diray le cas Pour quoy nous vous avons mandez, Que nous voulons, en tous estas, A vous estre uniz et bandez, Sans riens faire ne commander Chose qui soit que (qui) [que] porte branle. (Mist. Siège Orléans H., c.1480-1500, 144).
[4] Comment dea ! Le duc de Bourgeoigne Devers nous t'a il envoyé Nous mandez de ceste besoigne, Luy qui est tant nostre allié ? Je ne scay qui l'a desvoyé De nous mandez telles parolles ; Mais il me semble forvoyé, Ne scay dont vient ces parabolles. (Mist. Siège Orléans H., c.1480-1500, 365).
[5] Comment dea ! Le duc de Bourgeoigne Devers nous t'a il envoyé Nous mandez de ceste besoigne, Luy qui est tant nostre allié ? Je ne scay qui l'a desvoyé De nous mandez telles parolles ; Mais il me semble forvoyé, Ne scay dont vient ces parabolles. (Mist. Siège Orléans H., c.1480-1500, 365).
[6] Et maintenant je me merveille De leur mauvaise intencion, Et pour ce, sans detencion, Mandez vous avons pour savoir Commant nous y debvrons porveoir De remede qui soit ydonne. (Myst. st Adr. P., c.1450-1485, 53).
[7] Mandez le querre sans descrie [l. destrie], Et le faictes a vous venir, Pour demander par quel plaisir Il a fait ceste oultrecuidance. (Myst. st Adr. P., c.1450-1485, 113).
[8] LE CHANCELIER. Meilleur remede n'y voy goute, Fors que de les fere amener Par devant vous, et que mandez Soit par vous a vostre grant juge Que briefment et sans nul refuge Les vous amainne attivement, Prins et liez estroictement (Myst. st Adr. P., c.1450-1485, 141).
[9] Et que a certain temps ma verge divine, qui est corrective, par une gracieuse dispensacion deust cessier de faire son office, pource fuz tu mandez (MéZIèRES, Songe vieil pèl. C., t.2, c.1386-1389, 506).
[10] «...mandez vos .VIJ. filz que tost viengnent de cha. Bien sçay que ilz venront ; ja pié ne vous faulra.» (Cip. Vignevaux W., p.1400, 89).

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