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...lequel roy de Castille, pour loyer et merite d'un si hault cas fait devant ses yeulz meismes, requist audit messire Jehan que de sa main il voulsist prendre ordre de chevalerie (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 165). |
| [2]
...diligence en guerre est bien seant et quy puet prendre despourveus sez ennemis, quelque traveil ou meschief que l'en y ait, toutesvoyez est la paine bien emploiee et en est honnourablement fait le loyer (Comte Artois S., c.1453-1467, 83). |
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.. [La reine Mirro:] "Jason, je congnois que vous estes cil qui ce royaulme avez escharté de ceulx qui mengoient sa substance, qui le gastoient et qui le perdoyent. Si ne voeil pas dire que tres digne de merite ne soyez et que le loyer ne vous en soit rendu, mais, moy requerre d'amours, ce me samble trop avant entreprins..." (LEFèVRE (R.), Hist. Jason P., c.1460, 151). |
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Messeigneurs, je vous ay offert De faire Jhesus corrigier, Sans le hastivement jugier Des fais contre vo loy commis, Voir pouez comment est pugnis, Al estaiche l'ay fait loyer Et tant battre que au sang rayer (MARCADé, Myst. Pass. Arras R., a.1440, 173). |
| [5]
Celui qui sert et ne persert Souventes fois son loyer pert (MARCADé, Myst. Pass. Arras R., a.1440, 216). |
| [6]
LAURENS. Le loyer m'en sera rendu En la haulte gloire celestre. C'est la voix de Dieu, mon doulx maistre, Qui parle en moy : ce dois sçavoir. (Myst. st Laur. S.W., 1499, 229). |
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Mais garde toy que chose dicte Ne soit par toy que empeschier Puisse le salaire et loyer, Que tu avras par ton martire : Jhesus par moy le t'envoye dire. (Myst. st Adr. P., c.1450-1485, 115). |
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Et affin que ce soit cogneu Em perpetuelle memoire, Sans plus attandre, je dès hoires A vous vois, pour vous convoyer A recevoir l'aultain loyer Et l'eternelle reluisance ! (Myst. st Adr. P., c.1450-1485, 119). |
| [9]
La loi Jésus tout bien encl"t, Elle est nommée la loy de grâce Qui est contraire en toute place Aux autres, qui sont sans loyer ; Pour ce ne la veux renvoyer. (Myst. ste Barbe P., 1493, 42). |
| [10]
...et pour ce leur estoit rendu tel loyer que on secouroit a la souffreté de ceulx nobles hommes des biens de la chose publique. (CHR. PIZ., Corps policie L., 1406-1407, 36). |
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Attestation de 