C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de letres dans la Base des Partiels 

12 attestations 
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[1] Ces letres m'ont raporté Joye, puis que j'oz nouvelle Qu'en santé est, n'avorté N'est le doulz plaisant bien qu'elle Me vouloit. (CHR. PIZ., Cent ball. amant dame C., c.1409-1410, 88).
[2] Coment le Prince tramist au bastard ses letres responsales sur la tenure cy ensuant. (HERAUT CHANDOS, Vie Prince Noir T., c.1385, 128).
[3] Sachent touz ceux qi cestes letres verront ou orront moi William Pieres, meistre de la nief nostre seigneur le roi (...) avoir recieu (...) les choses soutz escrites (...) c'est assavoir: II cables, I weyndrop, I boterop, I ancre, I boghesprete, I upartiegh, II shetes, IIII boyrepes, I craveline, II dozeines de tieldes, II trusserepes, I gerding, II yerderopes, II dozeines des virons, V cordes pur shroude au mast demi roulle de Beauvoir, I soundingline, II martels, I hache et I slegge. (Reçu Piers V.D., 1342, 327).
[4] Et adont le dit patron porta les letres et mena le message au mareschal, lequel un petit l'interrogua (Bouciquaut L., 1406-1409, 258).
[5] pour eulx excuser envoyerent leurs ambassadeurs devers le roy, qui portoient letres de la seigneurie de Venise avec leur creance (Bouciquaut L., 1406-1409, 275).
[6] puis lui baillerés noz letres de creance (Bouciquaut L., 1406-1409, 349).
[7] A tous ceulx qui ces presentes letres verront, Robert d'Estouteville, chevalier, garde de la prevosté de Paris, commissaire et general refformateur donné et depputé de par le Roy nostre sire sur la decoracion de la ville de Paris et sur la visitacion et refformacion des mestiers d'icelle ville, salut (Mét. corp. Paris L., 1351-1500, 506).
[8] Adonc Raison bouta sa main Par un amigaut en son sain Et une boiste ataint en a Dont unes letres hors sacha (GUILL. DIGULL., Péler. vie humaine S., c.1330-1331, 162).
[9] Vien avant, clers, dist elle a moi, Oste ces letres hors de ploi, Li les devant ce bacheler (GUILL. DIGULL., Péler. vie humaine S., c.1330-1331, 162).
[10] Pendant lequel temps, Monseigneur le Daulphin requist au conte par letres et messaiges qu'il lui baillast le duc en ses mains, et qu'il feroit lever le siège devant Chantoceaulx et mectre sa mère au délivre et en liberté. (CHART. J., Chron. Ch. VII, V. t.3, Fr. hist., 1403-c.1470, 239).

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