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Ne le tenés point a injure Se je vous dy presentement Que j'ay plus chier la turelure Ou je prens mon refreschement Les jeus d'amours qui sont polis, Sans avoir plus d'encombrement, Car pour eymer je suis haÿs. (Jeu quatre pers. L., 15e s., 194). |
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Tant yerent sy parler à dames savoureux (...) Que dame ne le voit qui [ ne ] ait quier cez jeus (Hugues Capet L., c.1358, 8). |
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Mais cescun fu en cuer faus, traytrez et lais, Car encontre Huon firent pluseur jeus mais (Hugues Capet L., c.1358, 181). |
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Là furent de le ville venut li compaignon Esbatre à pluiseurs jeus (...) Ly uns de la balestre, li autres d'un boujon, As boules et as tables, de maint jeu de baron. (God. Bouillon R., t.2, c.1356, 23). |
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il faisoit si tres froit que personne ne faisoit quelque labour que souller, crocer, jouer à la pelote ou autres jeus pour soy eschauffer (Journal bourgeois Paris T., 1405-1449, 182). |
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Dist li uns : " J'en sçai I. nouviel, Que je voel monstrer et aprendre Et qui bien est tailliés dou prendre. - Quels est li jeus ? ", on li demande. (...) " C'est chils de le pince meurine. (...) ". (FROISS., Joli buiss. F., 1373, 149). |
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Attestation de 