C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de iestre dans la Base des Partiels 

25 attestations 
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[1] «Seigneur, dist Godefrois, iestre devons joiant (...) Quant li payens oultre le mer nous vont redoutant. Je n'el savoie pas, or se vont acqusant...» (God. Bouillon R., t.2, c.1356, 30).
[2] «...Se éuissiés véu le camp bien estoffé, Vous volsissiés bien iestre à Nicques la cité...» (God. Bouillon R., t.2, c.1356, 249).
[3] A une Saint-Jehan que biaus est ly estés Atendoit ly soudans, en ses auctorités, Quinse roys sarrasin que tous avoit mandés Pour iestre à le journée que ly jours fu nommés, Que Corbarans devoit venir tous aprestés (God. Bouillon R., t.2, c.1356, 276).
[4] «...Barut voet iestre à nous par convent rançonnée...» (God. Bouillon R., t.2, c.1356, 382).
[5] «...Tanet sont d'iestre chy en nostre casement...» (God. Bouillon R., t.2, c.1356, 404).
[6] A ses pucielles dist : «Iestre voel esseulée ; Malade suy ung poy, et très-mal disposée.» (God. Bouillon R., t.2, c.1356, 406).
[7] «...s'entre moy et vous fust nostre loy ounie, Ensy iestre poroit alianche ficquie, Et j'éuisse voloir que fusse vostre amie ; Et par ces poins-ychy faura la compaignie...» (God. Bouillon R., t.2, c.1356, 410).
[8] «...ne volroie pas enfin iestre sauvés, Et iestre en paradis à tousjours ostelés Se je déuisse avoir otant nécessités, Et avoir fain et soit et iestre mal cauffés, Et endurer estours et grans caples mortels, Que vous avés souffiert et ly vostre barnels.» (God. Bouillon R., t.2, c.1356, 466).
[9] «...ne volroie pas enfin iestre sauvés, Et iestre en paradis à tousjours ostelés Se je déuisse avoir otant nécessités, Et avoir fain et soit et iestre mal cauffés, Et endurer estours et grans caples mortels, Que vous avés souffiert et ly vostre barnels.» (God. Bouillon R., t.2, c.1356, 466).
[10] «...ne volroie pas enfin iestre sauvés, Et iestre en paradis à tousjours ostelés Se je déuisse avoir otant nécessités, Et avoir fain et soit et iestre mal cauffés, Et endurer estours et grans caples mortels, Que vous avés souffiert et ly vostre barnels.» (God. Bouillon R., t.2, c.1356, 466).

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