C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de i dans la Base des Partiels 

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[1] Et leur conuynt deschausser leur soules pour passer sur les pierres de marbre, et estoient si honnyes et si glisantes que on ne s'i pouet tenir fors ... quatre piés (BONTIER, LE VERRIER, Canarien G., c.1425 [1482], 59).
[2] Et près de l... est l'isle de Corsegue qui est au droit du païs de Janevois o- croissent très bons vins blans et sont subgetz aux Janevois, et s'i retraient volentiers les larons de mer, pour ce que c'est ung poure païs et peu peuplé. (LE BOUVIER, Descript. pays H., p.1451, 67).
[3] En ce païs croist assez vins, mais les gens du païs n'en boivent point, car leu loy le desfent et ne menguent point de porc, mais boivent du bruvaige, qui croist sur arbres encossés qu'i font piller en pressouers avec eaue doulce (LE BOUVIER, Descript. pays H., p.1451, 72).
[4] ...je vi .I. homme qui menoit avecques lui plus de .IIIJ. mile perdriz. Cestui homme aloit par la terre, et les perdriz aloient par l'air. (VIGNAY, Merv. Terre Outr. T., c.1331-1333, 3).
[5] Et aussi i sont les souriz si grans comme sont ici les chaiaus del loirre qui habite en yaues. (VIGNAY, Merv. Terre Outr. T., c.1331-1333, 11).
[6] Et en cele contree chascun homme a devant sa maison .I. pel d'un arbre qui est apelé "faciolus", aussi grant comme seroit ici une grant coulompne ; et le pié de cel arbre ne seche pas tant comme il soit arousé d'yaue. (VIGNAY, Merv. Terre Outr. T., c.1331-1333, 11).
[7] Et ceste ylle est mout bien habitee, et est la seconde meilleur ylle qui soit. Et en cele est né le canfre et les bebes i sont nees et les nois mugades et mout d'autres espices. (VIGNAY, Merv. Terre Outr. T., c.1331-1333, 35).
[8] En ceste meismes contree [contree] vi je en la Grant Mer une maniere de poisson a eschalle faite comme .I. lymaçon, qui estoit bien greigneur de tour que le cerne du portal de l'Eglise saint Anthoine de Pade (VIGNAY, Merv. Terre Outr. T., c.1331-1333, 41).
[9] Et quant il i vont et il avient que il prennent aucun homme qui ne se puet raembre par son argent, tantost il l'occient et puis le menjuent tout cuit. (VIGNAY, Merv. Terre Outr. T., c.1331-1333, 42).
[10] Soit posé que le pere d'aucun soit malade. Tantost le filz ira a .I. astronomien, c'est assavoir a .I. prestre, et li dira ainssi : "Sire, alez savoir a nostre dieu se mon pere puet estre delivré de ceste enfermeté, ou se il en morra." (VIGNAY, Merv. Terre Outr. T., c.1331-1333, 46).

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